Citation de Guillaume Vissio

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Mais relativisons les choses... la censure, c'est un peu comme la digitaline : indolore par quantité homéopathique, stimulante... - Guillaume Vissio

Mais relativisons les choses... la censure, c'est un peu comme la digitaline : indolore par quantité homéopathique, stimulante en injection médicalisée, et mortelle à hautes doses.

Guillaume Vissio

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Le Juge : Je ne sers pas la loi pour ce qu'elle dit, mais parce qu'elle est la loi. - Diego : Mais si la loi est le crime ? - Le Juge : Si le crime devient la loi, il cesse d'être crime.

Albert Camus

Enveloppe. Linceul d'un document ; fourreau d'une facture ; cosse d'un versement ; couvre-lit d'une lettre d'amour.

Ambrose Bierce

Il y a des gens qui ont un besoin fou de famille, irrépressible, aussi pressant que l'obsession du sexe, peut-être plus.

Erik Orsenna

Tous mes jours sont des adieux.

François-René de Chateaubriand

La politique c'est le coté gazeux de la nation : sa limonade, son champagne, ses pets.

Frédéric Dard

La vie idéale est celle où Dieu nous veut, individuellement, nous veut moine, aventurier, cordonnier ou assureur.

Guy de Larigaudie

Celui qui règne dans les cieux ..., à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance.

Jacques-Bénigne Bossuet

Il accusait toujours les miroirs d'être faux.

Jean de La Fontaine

On ne put se défendre d'être fasciné par les arabesques, les trèfles de galon qui escaladaient son dolman et le casque étincelant emplumé de faisanneries.

Jean Giono

Oui, je viens dans son temple adorer l'Eternel !

Jean Racine

C'est quand on commence à payer des pensions alimentaires qu'on se rend compte à quel point un mois ça passe vite !

Jean Yanne

Si vous aimez seulement 70% de vous-même, c'est ce qui va vous revenir.

Jennifer Aniston

L'instant qui ne m'apporte pas un enrichissement ouvre en moi une blessure.

Joë Bousquet

Le pouvoir ça se prend ça ne se donne pas.

Napoleon Hill

Je n'ai pas peur tandis que mes pieds frappent la terre, que je sens le vent salé et chaud me fouetter le visage, que j'entends la fureur derrière moi, non ce n'est pas comme avant quand tout se ratatinait en moi, quand je ne savais plus qui j'étais ni comment je m'appelais. Non, tandis que je rejoins l'océan, je n'ai plus peur. Je m'appelle Moïse, j'ai quinze ans et je suis vivant.

Nathacha Appanah