Rien ne dure ici-bas ; et c'est une raison pour qu'il fasse beau demain s'il a plu aujourd'hui.
Gustave Flaubert
Les Français veulent l'égalité, et quand ils ne la trouvent pas dans la liberté, ils la souhaitent dans l'esclavage.
Alexis de Tocqueville
Rien n'est jamais fini tant que le dernier souffle n'a pas franchi son dernier obstacle.
Aude Le Corff
Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l'égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements.
Confucius
Ils étaient passé sans transition de l'enfance à l'épuisement et à la préparation à la mort, sans avoir droit aux quelques années d'oubli du monde et de la réalité que les autres appellent la jeunesse.
Édouard Louis
Prudence est mère de tous les vices.
Francis Blanche
Mademoiselle prenait dans ses deux mains son joli visage, les coudes presque appuyés sur mes genoux, et Henri perché sur un haut fauteuil remuait ses jambes ballantes.
François-René de Chateaubriand
Le plaisir de dogmatiser, sans être repris ni contraint par aucune autorité ecclésiastique ni séculière, était le charme qui possédait les esprits.
Jacques-Bénigne Bossuet
C'est en allant vers la mer que le fleuve reste fidèle à sa source.
Jean Jaurès
Le désir est bien fort, il engendre la croyance.
Marcel Proust
Soyez réalistes demandez l'impossible : Voilà le plus beau slogan de Mai 68, le plus profond, le plus explicitement surréaliste. Il peut être répété à n'importe quel moment. Il n'a pas une ride. Il résonne aussi en accord avec l'ironie voltairienne dénonçant l'imposture du "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Philippe Sollers
La haute couture : de l'art portable.
Sophia Sida
Le combat est aussi l'ultime recours de ceux sur qui pèsent le plus durement le poids des violences institutionnelles.
Thierry Discepolo
Vous êtes mon lion, superbe et généreux ! Je vous aime.
Victor Hugo
D'après ce seul coupable, apprends à les connaître tous.
Virgile
Et ratatatata ! Cinquante haricots tout ronds pétaradèrent aux oreilles de la petite taupe.
Werner Holzwarth