Il faut, par un effort d'esprit, se transporter dans les personnages et non les attirer à soi.
Gustave Flaubert
Tartarin donna deux cents francs ; l'âne en valait bien dix. C'est le prix courant des bourriquots sur les marchés arabes.
Alphonse Daudet
Quel petit nombre d'heures, d'instants, chaque jour, sont vraiment occupés à vivre ! Pour quelques triomphantes oasis, quels immenses déserts à traverser !
André Gide
Dieu est si grand seigneur, et moy si petit compagnon que nous n'avons jamais eu de communication ensemble.
Bois-Yvon
On ne se trompait pas en 1943 sur le sens d'un livre comme L'Etre et le néant par Jean-Paul Sartre, c'était une ontologie de la liberté. Et aussi [...] l'importance qu'ont eu pour moi les Réflexions sur la question juive après la guerre. Ça a été un livre à tous égards libérateur.
Claude Lanzmann
Même en écarquillant les yeux, l'Homme ne voit rien. Il tâtonne en trébuchant sur le route obscure de la vie, dont il ne sait ni d'où elle vient, ni où elle va. Il est aussi angoissé qu'un enfant enfermé dans le noir.
Henri Laborit
L'espérance est un mensonge appuyé sur l'avenir.
Honoré de Balzac
Il a aimé, pourtant, il a voulu vivre, il s'est vu mourir cela suffit pour faire tout un homme.
Jean-Paul Sartre
J'essaie de manger de manière à me sentir bien. Si cela signifie un peu de chocolat, je le fais, mais j'essaie de ne pas utiliser la nourriture pour me récompenser.
Jennifer Garner
Quand on consière notre existence, ce n'est pas la mort qui est scandaleuse ; c'est la vie.
Khalil Assala
Il faut caresser les hommes ou s'en assurer.
Nicolas Machiavel
Seul celui qui possède a peur de perdre.
Pierre Bordage
Dans un centre plus ou moins hospitalier, le patient qui attend un calmant qui tarde à venir a parfois bien du mérite à l'être.
Pierre Dac
Le souvenir passionné des caresses de cette fille lui ôtait ses moyens de défense.
Pierre Mac Orlan
Béni est de Dieu, Qui tient le milieu.
Proverbe Français
J'aurais presque crié, tellement me faisait mal cette lame d'acier chauffée à blanc qui pénétrait en moi, toujours plus implacable.
Stefan Zweig