Gourmé : Toujours précédé de raide.
Gustave Flaubert
Qui trouvera une femme forte ? elle est plus précieuse que ce qui s'apporte de l'extrémité du monde.
Bible
Tout le monde ment. La vérité, les vraies décisions, se découvrent derrière des portes où les journalistes ne viennent pas. Tout le monde manipule tout le monde et c'est ce qui rend la politique dangereuse et pasionnante à la fois...
Bruno Kreisky
Seuls disparaissent ceux qui ont un endroit où aller.
Carlos Ruiz Zafón
On eut dit une vieille pièce anglaise. Il y avait une horloge assez imposante qui marquait chaque seconde avec la certitude arrogante de travailler pour une entreprise éternelle : le Temps.
David Foenkinos
Je ne supporte pas les gens qui se plaignent. Or, il n'y a que ça, sur cette terre. C'est pourquoi j'ai un problème avec les gens.
Franz-Olivier Giesbert
Les curés, c'est un peu comme les flics. Pas le droit de ceci, pas le droit de cela, ça ne va jamais comme ils veulent.
Fred Vargas
Pour moi, menacé du naufrage, Je dois, en affrontant l'orage, Penser, vivre et mourir en roi.
Frédéric II
Un flatteur, suivant nous, a toujours assez d'instruction pour faire l'éloge de nos oeuvres ; un homme de goût en a rarement assez pour les critiquer.
Jean Antoine Petit-Senn
J'aime qu'à mes desseins la fortune s'oppose : Car la peine de vaincre en accroît le plaisir.
Jean Bertaut
Quand vraiment on a une confiance, on devient confiant.
Jean-Claude Van Damme
Je ne perdis point courage ; mais j'avais perdu beaucoup de temps.
Jean-Jacques Rousseau
La nuit de nos villes ne ressemble plus à cette clameur des chiens des ténèbres latines, ni à la chauve-souris du Moyen Age, ni à cette image des douleurs qui est la nuit de la Renaissance. C'est un monstre immense de tôle, percé mille fois de couteaux.
Louis Aragon
La misère rend industrieux.
Proverbe Danois
Il était ému depuis toujours par les taches de rousseur que le soleil faisait apparaitre sur son visage, elle ne comprenait pas pourquoi.
Véronique Olmi
L'humanité est devenue assez étrangère à elle-même pour réussir à vivre sa propre destruction comme une jouissance esthétique de premier ordre.
Walter Benjamin