Citation de Gustave Le Bon

← Précédent Suivant →
Les maîtres des peuples n'ont pas seulement à régir les vivants, il leur faut tenir compte aussi de l'impérieuse volonté des morts.... - Gustave Le Bon

Les maîtres des peuples n'ont pas seulement à régir les vivants, il leur faut tenir compte aussi de l'impérieuse volonté des morts.

Gustave Le Bon

Toutes les citations de Gustave Le Bon →

Explorer les Citations

Les baisers, il faut les rêver, les attendre...

Alexandre Jardin

Il y a trop de gens qui nous disent ce que Dieu veut ou désire. Je n'en ai personnellement aucune idée

Donna Leon

Rien ne contribue davantage au bonheur du jour que le bien qu'on a fait la veille.

Edme-Pierre Chauvot de Beauchêne

Quand à nous, nous avons pris pour cette nuit nos logements dans le fondouk. Y sommes-nous plus abrités qu'en plein air ? Ce serait à essayer, si je l'osais.

Eugène Fromentin

Ce qui nous rend la vanité des autres insupportable, c'est qu'elle blesse la nôtre.

François de La Rochefoucauld

Si j'étais celui que croient que je suis les gens qui m'aiment en pensant me connaître, je ne les fréquenterais pas.

Georges Perros

Les modifications se créent d'elles-mêmes au fur et à mesure que nous vivons et que nous pénétrons au coeur des choses.

Gilbert La Rocque

Combien de lampes merveilleuses faut-il avoir maniées avant de reconnaître que la vraie lampe merveilleuse est ou le hasard, ou le travail, ou le génie ?

Honoré de Balzac

Adam. Pourquoi les peintres s'obstinent-ils à lui visser d'un coup de pinceau un nombril dans le ventre ?

Jacques Henric

Le burlesque, si justement avili depuis, était alors fort à la mode.

Jean Le Rond d'Alembert

Les poètes doivent être la grande étude du philosophe qui veut connaître l'homme.

Joseph Joubert

La lumière crée l'ambiance et la sensation d'un lieu, ainsi que l'expression d'une structure.

Le Corbusier

Il faut une brune intelligente pour jouer une blonde idiote.

Marilyn Monroe

Une tradition, ce n'est jamais qu'un progrès qui a réussi.

Maurice Druon

Le présent, c'est-à-dire la quotidienneté ambiante, nous assiège de toutes parts et ne cesse de nous convier à l'oubli des choses révolues.

Vladimir Jankélévitch