Citation de Gustave Thibon

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Progrès ? - Le monde, depuis un siècle, évolue à pas de géant. Tout se précipite : le vent du progrès nous coupe la face. A... - Gustave Thibon

Progrès ? - Le monde, depuis un siècle, évolue à pas de géant. Tout se précipite : le vent du progrès nous coupe la face. Amer symptôme : l'accélération continue est le propre des chutes plutôt que des ascensions.

Gustave Thibon

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Nous sommes l'addition de deux parfaits étrangers, nous sommes le résultat de c'que nous avons pensé. Jamais deux sans toi.

Dinos

Tout motif est doublé de mobiles.

Edmond Goblot

Nous ne devrions déranger nos amis que pour notre enterrement. Et encore !

Emil Cioran

Comprenez, je parle comme un qui peut mourir à tout instant, toutes affaires cessantes. On cite encore mes mots d'enfant, j'ai une réputation à soutenir. Les places sont chères dans les cimetières des cimes.

Eric Chevillard

Ils sont heureux, parce qu'ils ne sont pas moi.

Fernando Pessoa

Les autres font ce qu'ils veulent de tes mots, tandis que tes silences les affolent. Tiens ta langue et ils se mettront en huit pour essayer de piger ce que tu ne dis pas.

Frédéric Dard

L'invention mélodique est l'un des signes les plus sûrs d'un don divin.

Gustav Mahler

Que ne fait point un coeur - Pour plaire à ce qu'il aime, et gagner son vainqueur ?

Jean Racine

Les prétentions sont une source de peines, et l'époque du bonheur de la vie commence au moment où elles finissent.

Nicolas de Chamfort

Aimer par le coeur, c'est avoir d'avance tout pardonné à ce qu'on aime.

Paul Bourget

La maladie est moins cruelle que les hommes puisqu'elle s'abstient de tuer les gens en pleine santé.

Philippe Bouvard

Renard n'est pas juge à un concours d'oies.

Proverbe Anglais

N'étends tes pieds que selon la longueur de ta couverture.

Proverbe Turc

Il sait bien que les vérités absolues n'existent pas, qu'elles ne sont qu'un moyen de nous réduire à la servitude.

Romain Gary

Tache d'encre bleue en forme de fleur ; pur accident ou rature embellie au crayon feutre.

Vladimir Nabokov