La vulgarité, ça ne s'improvise pas. On est vulgaire. On naît vulgaire. C'est une infirmité de l'âme.
Guy Bedos
Peu d'éloquence, beaucoup d'amour.
Charles Perrault
Je ne demande plus aux hommes qu'une chose : c'est de me laisser beaucoup de temps à moi, beaucoup de solitude, et pourtant de se prêter quelquefois encore à mon observation.
Charles-Augustin Sainte-Beuve
Dans toute vie, on ne peut pas séparer l'amour, la crainte, l'apprentissage, la violence, la tendresse, l'espérance, le roman doit pouvoir intégrer des lignes aussi contradictoires.
Colombe Schneck
Les impressions des expériences spirituelles ont donné à ma vie future sa forme et son contenu.
Gustav Mahler
Se défaire des habitudes quotidiennes du corps, c'est se donner la chance d'un autre rapport à la pensée.
Hélène Grimaud
Tout alentour de sa sepulture le rivage s'esboula.
Jacques Amyot
Les flics aiment faire peur. C'est leur raison d'être.
Jean-Christophe Grangé
Et quand tes fils sont condamnés aux fers - Et plongés dans l'obscurité du cachot humide, - Ils sauvent leur patrie par leur martyre - Et la gloire de la liberté ouvre l'aile à tous les vents.
Lord Byron
La vie est un défi. Fais-lui face.
Mère Teresa
Quand on veut naviguer sans efforts, en se laissant simplement porter par le courant, il faut au moins sentir d'où souffle le vent.
Michel Bussi
Un jour que l'on ne s'entendait pas dans une dispute à l'Académie, M. de Mairan dit : Messieurs, si nous ne parlions que quatre à la fois.
Nicolas de Chamfort
Si tout va mal c'est parce que les gens se parlent. Si les gens ne se parlaient pas... ils ne se rendraient pas compte de leurs désaccords.
Philippe Geluck
On a toujours beaucoup plus de chances d'apprendre un événement extraordinaire par le journal que de le vivre ; en d'autres termes, c'est dans l'abstrait que ce passe de nos jours l'essentiel, et il ne reste plus à la réalité que l'accessoire.
Robert Musil
Une femme, une vraie femme, c'est une femme avant tout qui n'est pas féministe.
Sacha Guitry
La femme coquette est l'agrément des autres et le mal de qui la possède.
Voltaire