Citation de Guy Bedos

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Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu'il pense vraiment de son journal. Dans son journal... - Guy Bedos

Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu'il pense vraiment de son journal. Dans son journal.

Guy Bedos

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Aimez, louez souvent - Le geste saugrenu - Qui fait honneur à toutes.

André Pieyre de Mandiargues

Dites la vérité, général, la France a perdu la guerre. Mais ses alliés la gagneront.

Antoine de Saint-Exupéry

Nous naissons et nous mourons : nous naissons pour mourir, parce que nous commençons par mourir pour naître.

Bernard de Clairvaux

Tout est grand dans le temple de la faveur, excepté les portes qui sont si basses, qu'il faut y entrer en rampant.

Charles-Eugène de Lévis-Charlus

Je suis un fils des monts, adopté par la mer.

Épitaphe Anonymes

Après l'âge ingrat vient l'âge gratin ; après le club Mickey, le mickey des clubs.

Frédéric Beigbeder

Le plus court chemin du plaisir au bonheur passe par la tendresse.

Grégoire Lacroix

La danse est donc le quatrième des beaux-arts employés dans la constitution de la scène lyrique ; mais les trois autres concourent à l'imitation.

Jean-Jacques Rousseau

Un autoportrait est toujours un reflet dans un miroir, mais dans celui-ci on dirait que le miroir a disparu, le peintre est vraiment là.

Julien Green

L'angoisse n'est rien d'autre que cette sensation étouffante d'impuissance ? Cette absence d'espoir, cette absence de futur. Rien. Rien à faire, rien devant, rien derrière.

Marilu Mallet

La vraie science est une ignorance qui se sait.

Michel de Montaigne

Au moins, quand il est avec sa maîtresse, c'est elle qui est obligée de regarder le foot !

Michèle Bernier

Le feu enlève toute impureté.

Proverbe Berbère

La bonne mesure est impossible à trouver ; soit on parle trop de sa déportation, soit on en parle trop peu. Nombreux sont ceux qui en ont été tellement meurtris qu'ils n'en parlent jamais.

Simone Veil

Mais, si dépourvues de matière qu'elles paraissent, les pensées aussi ont besoin d'un point d'appui, faute de quoi elles se mettent à tourner sur elles-mêmes dans une ronde folle.

Stefan Zweig