Les journaux d'aujourd'hui chroniquent avec une avidité dégradante les péchés de personnages de second ordre et nous donnent avec l'application des illettrés des détails précis et prosaïques sur les faits et gestes de personnes absolument sans intérêt.
Comment ai-je pu être si immature de penser qu'il pourrait remplacer les éléments manquants en moi ?