Citation de Hafez

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Voici le printemps qui revient avec le charme des roses. Regarde leurs joues fraîches, et la plante amère de la tristesse sera déracinée de to... - Hafez

Voici le printemps qui revient avec le charme des roses. Regarde leurs joues fraîches, et la plante amère de la tristesse sera déracinée de ton coeur.

Hafez

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Les vers de 23 pieds, ça vous paraît tout drôle la première fois, et puis on s'y fait.

Alphonse Allais

L'ordinateur a de la mémoire mais aucun souvenir.

Anonyme

Un diplomate est un homme qui est payé pour tenter de résoudre les difficultés qui ne se seraient jamais présentées s'il n'y avait pas eu de diplomates.

Anonyme

Les graines sont invisibles. Elles dorment dans le secret de la terre jusqu'à ce qu'il prenne fantasie à l'une d'elles de se réveiller.

Antoine de Saint-Exupéry

Les hommes se répartissent naturellement en trois classes : les vaniteux, les orgueilleux et les autres. Je n'ai jamais rencontré les autres.

Auguste Detoeuf

Donnez-moi une femme authentique, et je suis heureux.

Bradley Cooper

Le français : idiome idéal pour traduire délicatement des sentiments équivoques.

Emil Cioran

M. Cabissol appela l'aubergiste Blanc, qui, sur demande, apporta plume et encre, et Maurin dicta le sens d'une billette dont M. Cabissol rédigea les phrases à son idée.

Jean Aicard

La Muse qui a recueilli tout ce que les Muses plus hautes de la philosophie et de l'art ont rejeté, tout ce qui n'est pas fondé en vérité, tout ce qui n'est que contingent, mais relève aussi d'autres lois, c'est l'Histoire.

Marcel Proust

Le destin est comme les gamins dans la cour de récré, il s'acharne sur les plus faibles.

Michel Bussi

Des faux clients ? Oui, et j'assume !

Philippe Etchebest

Le dépaysement, soit, pourvu qu'on en contrôle ses entrées et ses sorties.

Pierre Karch

Tourné vers le vaste océan du Beau et le contemplant, il pourra enfanter en foule de beaux et magnifiques discours.

Platon

Un roman n'a pas à dire la vérité, il peut bien plus que cela.

Serge Joncour

Ruth songeait et Booz dormait ; l'herbe était noire ; - Les grelots des troupeaux palpitaient vaguement ; - Une immense bonté tombait du firmament ; - C'était l'heure tranquille où les lions vont boire.

Victor Hugo