Citation de Hafez

← Précédent Suivant →
La flamme de la séparation cruelle me consume tout entier. O vent du soir, rafraîchis-moi de ton haleine, mais que cette haleine soit embaumée... - Hafez

La flamme de la séparation cruelle me consume tout entier. O vent du soir, rafraîchis-moi de ton haleine, mais que cette haleine soit embaumée de son parfum.

Hafez

Toutes les citations de Hafez →

Explorer les Citations

La variété dans l'identité, c'est l'un des secrets de tous les arts.

André Maurois

Ca n'est pas le moment de penser qu'un mariage sur trois s'achève par un divorce au bout de cinq ans.

Blandine Le Callet

Oxymore, à quelles faussetés tes lourds clins d'oeil nous mènent !

Charles Dantzig

C'est pas les bonnes intentions qui pavent la route de l'enfer. C'est les bonnes raisons qu'on se donne.

David Mitchell

Tant que chaque jour, je peux rester ne fût-ce que sur une seule ligne de ces Ecritures, j'arrive à ne pas me défaire de la surprise d'être vivant.

Erri De Luca

Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.

Frédéric Beigbeder

Ils reviendront, ces dieux que tu pleures toujours ! - Le temps va ramener l'ordre des anciens jours ; - La terre a tressailli d'un souffle prophétique...

Gérard de Nerval

Il n'y a qu'une immortalité qui vaudrait d'être souhaitée : c'est celle de la vie.

Henry de Montherlant

J'ai connu des vaisseaux faits avec des arbres morts qui survivaient à des vies d'hommes taillés dans la meilleure étoffe de vie.

Herman Melville

Que serais-je sans toi, qui vins à ma rencontre, Que serais-je sans toi, qu'un coeur au bois dormant. Que cette heure arrêtée au cadran de la montre, Que serais-je sans toi, que ce balbutiement.

Louis Aragon

L'honnêteté est au-dessus des lois mêmes.

Ménandre

Quel solitude, de mourir sans certitude d'être au moins... - une particule de vie un point minuscule utile a quelqu'un.

Mylène Farmer

La vie est comme le sexe. Ce n'est pas toujours bon, mais il vaut la peine d'essayer.

Pamela Anderson

1923 : la misère, en Allemagne, touche son fond. L'économie en pleine faillite, le mark s'effondre : en janvier il faut 18 000 marks pour un dollar, il en faut 8 millions en novembre.

Raymond Abellio

Les arguments contre la folie s'échouent dans un petit froissement doux.

Stephen King