Citation de Hans Scholl

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Le fait est que les hommes ne voient pas clairement ce qui les rend humains : la détresse, le dénuement, la misère...... - Hans Scholl

Le fait est que les hommes ne voient pas clairement ce qui les rend humains : la détresse, le dénuement, la misère...

Hans Scholl

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Les temps sont courts à celui qui pense, et interminables à celui qui désire.

Alain

Je ne suis pas comme toi, je ne peux pas tout oublier et recommencer comme si rien ne c'était passé...

Anonyme

Tant qu'il y a de l'inquiétude il reste de l'espoir.

Augustin d'Hippone

Il n'est pas nécessaire de comprendre pour être opérationnel : je suis vivant, je le sais. Je suis parfaitement incapable de dire comment je fais pour vivre, et pourtant je ne cesse de vivre. Et l'on peut devenir profond en restant superficiel.

Boris Cyrulnik

Ne comptez pas vos poussins avant qu'ils ne soient éclos.

Esope

ABSURDE : Contraire à la logique masculine.

Georges-Armand Masson

L'idée commune que l'humanité se fait de Dieu ne dépasse point celle d'un monarque oriental entouré de sa cour ; la pensée religieuse est donc en retard de plusieurs siècles, nous sommes toujours à brouter l'herbe, malgré les ballons.

Gustave Flaubert

Les ignorans, recevans à gauche bien souvent la fortune qui leur vient à droitte, y commettent de villaines faultes.

Jacques Amyot

On ne bâtit pas un avenir sur des souvenirs et des sacrifices si beaux soient-ils.

Jacques Lamarche

J'aurais passé ma vie le long des quais - A faillir m'embarquer - Dans de biens funestes histoires - Tout cela pour l'amour - De mon coeur fou de la gloire d'amour.

Jules Laforgue

Une télé éteinte, c'était aussi aberrant qu'une maison sans fenêtre.

Laurence Peyrin

Il faut se méfier des ingénieurs, ça commence par la machine à coudre, ça finit par la bombe atomique.

Marcel Pagnol

Paroles mielleuses mais haine dans le coeur.

Proverbe Gabonais

Un imbécile ne s'ennuie jamais : il se contemple.

Remy de Gourmont

Le style doit être comme un vernis transparent : il ne doit pas altérer les couleurs, ou les faits et pensées sur lesquels il est placé.

Stendhal