Citation de Haruki Murakami

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Les sentiments qui ne s'étaient pas traduits en mots. Les promesses qu'on finirait par oublier. Les espoirs qui ne se réaliseraient... - Haruki Murakami

Les sentiments qui ne s'étaient pas traduits en mots. Les promesses qu'on finirait par oublier. Les espoirs qui ne se réaliseraient pas.

Haruki Murakami

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Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes ; mais la vision de la justice est le plaisir de Dieu seul.

Arthur Rimbaud

Le sage craint le mal et se détourne le sot est insolent et sûr de lui.

Bible

Les écrivains français sont très à l'aise dans les cafés.

Enrique Vila-Matas

Si les juges se mettent à donner gain de cause à tous les gens qui ont raison, on ne sait plus où l'on va, sinon à la dislocation d'un système qui ne tient debout que parce qu'il a pris l'habitude.

Georges Courteline

Ce qu'il y a de plus impressionnant chez l'homme, probablement la seule chose qui excuse sa folie ou sa brutalité, est le fait qu'il ait inventé le concept de ce qui n'existe pas.

Glenn Gould

(On reconnaît un égaré) à ce qu'il en vient à maudire sa propre vie, sur le chemin où il est.

Henri Gougaud

Un peintre apprenti demandait à son maître "Quand dois-je considérer que mon tableau est fini ?" Et le maître répondit : "Quand tu pourras le regarder avec surprise, en te disant : C'est moi qui fait ça".

Jean-Paul Sartre

En même temps, je recevais sur la tête un coup formidable et je perdis connaissance.

Léon Bloy

Elle exécuta enfin la résolution qu'elle avait prise de sortir de chez son mari lorsqu'il y serait.

Madame de La Fayette

Il y avait dans le monde des milliers et des milliers de formes de joie, mais au fond toutes ces joies n'en faisaient qu'une : celle de pouvoir aimer.

Michael Ende

Bien vient à mieux, et mieux à mal.

Proverbe Français

Les larmes de la paroisse font l'éloge du curé.

Proverbe Italien

Toute chose est prédéterminée, écrite à l'avance ! Nul ne sait ce que demain lui réserve !

René R. Khawam

Vous voulez la paix : créez l'amour. Si bellum vis, odium fac ; si vis paeem, fac amorem. Proclamons la fin des orgueils, la fin des colères, la fin des glaives.

Victor Hugo

Barnave était un de ces hommes qui prennent chaque matin la mesure de leur auditoire ; qui tâtent le pouls de leur public.

Victor Hugo