Citation de Haruki Murakami

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J'ai toujours eu soif d'affection. J'aurais voulu au moins une fois dans ma vie recevoir l'amour à satiété. Au point d'en être écoeu... - Haruki Murakami

J'ai toujours eu soif d'affection. J'aurais voulu au moins une fois dans ma vie recevoir l'amour à satiété. Au point d'en être écoeurée et d'en refuser davantage.

Haruki Murakami

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Quand on cesse d'avoir faim, cela s'appelle satiété. Quand on cesse d'être fatigué, cela s'appelle repos. Quand on cesse de souffrir, cela s'appelle réconfort. Cesser d'avoir soif ne s'appelle pas. La langue dans sa sagesse a compris qu'il ne fallait pas créer d'antonyme à la soif.

Amélie Nothomb

La meilleure façon d'apprendre aux enfants la valeur de l'argent c'est d'essayer de leur en emprunter.

Anonyme

Le sourire d'une mère cache souvent une croix et puis, aimer, n'est-ce pas s'oublier ?

Gabrielle Paquin-Grandbois

Le peuple disoit qu'il avoit lors voué d'offrir aux dieux la dixme des biens des ennemis, et que maintenant il vouloit decimer (soumettre à la dîme) ses propres citoyens.

Jacques Amyot

La montée qui duroit environ un quart de lieue n'estoit pas fort roide ny couppée.

Jacques Amyot

Il n'y a rien de plus bassement pratique que la religion.

Jules Renard

Je préfère ne pas penser à la mort, ou alors à celle des autres, c'est plus gai.

Les Vamps

Philis est l'objet charmantqui tient mon coeur à l'attache ; et je devins son amantla voyant traire une vache.

Molière

Il y a trois sortes de femmes : les emmerdantes, les emmerdeuses et les emmerderesses.

Paul Valéry

A chaque coffre sa clé, on les ouvrira tous.

Proverbe Chinois

Le bonheur est l'amorce de la témérité.

Proverbe Français

Ais peu d'affaires : l'homme n'est pas né pour en avoir beaucoup : le sage n'en a qu'une.

Pythagore

Qu'est-ce qu'il y aurait à la fin si tout était au commencement ?

Victor Hugo

La solitude est un pays qui brûle. Ses flammes vous ouvrent les yeux, avec une transparence qui fait miroiter les journées.

Yannick Haenel

Le mortel n'a qu'un seul domicile fixe : la tombe. Vivant, rien n'est jamais acquis pour lui, ni maison ni patrie.

Yasmina Khadra