Citation de Henri-François Rey

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Serge plongea à plusieurs reprises son bambou. Il ne ramenait jamais rien. "T'es bigleux, dit Daniel. D'abord, tu vises et puis t... - Henri-François Rey

Serge plongea à plusieurs reprises son bambou. Il ne ramenait jamais rien. "T'es bigleux, dit Daniel. D'abord, tu vises et puis tu piques, c'est facile !"

Henri-François Rey

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Un assez épais brouillard adoucissait les tons des verdures...

André Gide

Le commencement de toutes les sciences, c'est l'étonnement de ce que les choses sont ce qu'elles sont.

Aristote

On pourrait mettre au rang des plaisirs cette mélancolie que cause le premier amour, quoiqu'elle en fasse désirer de plus vifs.

Charles Pinot Duclos

Je pense que l'on peut avoir une personnalité, mais qu'il faut tout de même considérer cela comme un art. Il y en a qui ont fait des cours de cinéma. En plus de leur folie, ils ont additionné la technique, et cela en fait de grands acteurs. Regardez le père de Vincent Cassel...

Christophe

Un livre, c'est un objet contondant et un bloc d'éternité.

Daniel Pennac

Les médailles obtenues aux comices agricoles luisaient, encadrées et sous verre.

Emile Zola

Je le voyais tous les jours, couvert d'un manteau râpé, aller acheter chez une petite marchande pour deux sous de lait dans un vase de fer-blanc.

Ernest Renan

Plus je regarde les hommes et plus j'aime les femmes.

François Cavanna

Deux vieux époux ne se détestent jamais complètement.

François Mauriac

Le destin se moque des hommes.

Gao Xingjian

Sans la parole, sans l'écrit et les livres, l'histoire n'existe pas, pas plus que la notion d'humanité.

Hermann Hesse

Chaque nouvelle expérience apporte sa propre maturité et une plus grande clarté de vision.

Indira Gandhi

J'éprouve une immense gratitude à l'égard de ceux qui, par leurs oeuvres, ont enflammé mon imagination enfantine et m'ont donné un amour des livres et de la lecture qui ne m'a jamais quitté une seconde.

Kate Morton

On a le droit de bâtir sa vie sur un pressentiment.

Philippe Besson

La prolifération des marques sur les objets de la consommation la plus courante crée un élitisme de bazar dont les jeunes, transformés en adolescents-sandwiches, sont les victimes ravies.

Philippe Bouvard