Citation de Henri Matisse

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C'est avec la couleur que tu rends la lumière, mais tu dois aussi ressentir cette lumière, l'avoir en toi.... - Henri Matisse

C'est avec la couleur que tu rends la lumière, mais tu dois aussi ressentir cette lumière, l'avoir en toi.

Henri Matisse

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Des oeufs cubiques rendraient la vie des poules impossible.

Anonyme

L'immoralité, c'est la révolte contre un état de choses dont on voit la duperie.

Ernest Renan

Voici la crèche municipale Sous son badigeon de cambouis Où les générations foetales Venaient s'initier à l'ennui.

Hubert-Félix Thiéfaine

Raphaël homme divin ! c'est toi qui par degré m'éleva jusqu'à l'antique ! c'est toi peintre sublime ! c'est toi parmi les modernes qui est arrivé le plus près de ces inimitables modèles !

Jacques Louis David

La sensibilité extrême exclut la sécheresse.

Jean Le Rond d'Alembert

La modération n'est qu'une vertu ordinaire quand elle ne se rencontre qu'avec des qualités ordinaires.

Jean Racine

L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir.

Jean-François Jonvelle

Quel genre d'homme vais-je décider d'être ? A dix-neuf ans, c'est une question que l'on se pose. A trente-neuf, on dit : "Si seulement le destin n'avait pas fait de moi l'homme que je suis."

Jerome K. Jerome

Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un morceau de ta chair reste dans l'encrier.

Léon Tolstoï

Les rêves, les désirs et les espoirs sont les étoiles de nos vies !

Michel Bouthot

Les générations ne communiquent guère entre elles et ne le désirent pas.

Monique Corriveau

La dévotion des femmes qui commencent à vieillir n'est souvent qu'un état de bienséance pour sauver la honte et le ridicule du débris de leur beauté, et se rendre toujours recommandables par quelque chose.

Pierre d'Ailly

Que resterait-il de l'histoire du monde, si l'on n'admettait que l'erreur fait partie de la réalité ?

Pierre Reverdy

L'avare est lui-même la cause de sa misère.

Publilius Syrus

Et ceux que l'on mène au poteau - Dans le petit matin glacé, - Au front la pâleur des cachots, - Au coeur le dernier chant d'Orphée, - Tu leur tends la main sans un mot, - O mon frère au col dégrafé.

Robert Brasillach