Citation de Henry David Thoreau

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Impossible d'écrire bien et sincèrement si on ne le fait pas dans la joie. Le corps, le sens doivent travailler avec l'esprit&nb... - Henry David Thoreau

Impossible d'écrire bien et sincèrement si on ne le fait pas dans la joie. Le corps, le sens doivent travailler avec l'esprit ; l'expression est l'acte du corps tout entier.

Henry David Thoreau

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L'enfance disparue pouvons-nous la ressusciter, nous, les mutilées de l'adolescence, les précipitées hors corridor d'un bonheur excisé ?

Assia Djebar

Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre !

Bible

Il faut s'attendre à tout en politique, où tout est permis, sauf de se laisser surprendre.

Charles Maurras

La politique épouvantait comme une drogue dangereuse.

Emile Zola

La marchandise a envahi les cours d'école en même temps que les têtes.

François Taillandier

Le temps est le lieu de l'insuffisance et, par conséquent, du mal et du malheur.

Georges Poulet

Quand toute ma vie devient trop sombre, bloqué dans mon lit ; La lune a ses nuages, ma réflexion a ses défauts, elle peut être mirage dans mes nuits quand j'me lève tôt.

Georgio

Personne ne vit assez longtemps pour savoir à quel point personne ne s'intéresse à personne.

Hervé Le Tellier

L'amour est un mot qu'il faut se garder de prononcer. Ce qui compte, c'est la réalité.

Monique Larue

Au coeur de l'autocratie, vit une trinité infernale : le lavage de cerveau, la schizophrénie et la bonne vieille autorité.

Moses Isegawa

Les grandes vertus des peuples allemands ont engendré plus de maux que l'oisiveté n'a jamais créé de vices.

Paul Valéry

Avec hommes de bon sens, Il y a ressource souvent.

Proverbe Français

Nous sommes toujours préoccupés de perdre notre jeunesse. Mais le bien le plus précieux que nous ayons possédé, c'est l'enfance ; et elle est toujours perdue.

René Boylesve

Si j'ai bien compris, les gens, quand ils le regardent, voient la personne qu'ils ont envie de voir.

Stanley Péan

J'appris sous une mère, abandonnée, errante, A supporter l'exil et le sort des proscrits, L'accueil impérieux d'une cour arrogante, Et la fausse pitié, pire que les mépris.

Voltaire