Ils sont un millier à couper les branches du mal contre un seul qui s'attaque à ses racines.
Henry David Thoreau
Il est une chose plus terrible que de ne rien savoir, c'est de ne rien aimer, ne rien admirer...
Anonyme
L'argent est plat pour être empilé.
J'étais dans un état d'excitation intellectuelle intense. Je me sentais revivre les aventures des premiers voyageurs du XVIe siècle. Pour mon compte, je découvrais le Nouveau Monde. Tout me paraissait fabuleux : les paysages, les animaux, les plantes...
Claude Lévi-Strauss
Ainsi dit le renard ; et flatteurs d'aplaudir.
Jean de La Fontaine
Le luxe est lié au temps qui passe.
Jean Louis Dumas
On censurait encore dans ce temps-là ; maintenant on ne censure plus ; mais je n'en serai que plus réservé ; je caindrais trop de profaner la liberté par la licence.
Jean-Baptiste Louvet de Couvray
Une entreprise de bombes funèbres.
Jean-Paul Grousset
Fut-ce cet air-là qui commença son impopularité parmi ses camarades ? Toujours est-il qu'il devint, en très peu de temps, la bête noire du régiment.
Jules Barbey d'Aurevilly
Nous voulons le collectivisme pour le château d'en face, pas pour notre petite maison de campagne. Nous la plaçons dans la zone neutre.
Jules Renard
Pour faire l'amour, soignez votre visage, et pour soigner votre visage, faites l'amour.
Julien Besançon
Il est difficile d'attraper un chat noir dans une pièce sombre, surtout lorsqu'il n'y est pas.
Proverbe Chinois
Quand on a bu, on tourne le dos à la fontaine.
Proverbe Italien
Tout d'abord je trouve toujours choquant et blessant de s'arroger le monopole du coeur. Vous n'avez pas Monsieur Mitterrand, le monopole du coeur ! Vous ne l'avez pas... J'ai un coeur comme le vôtre qui bat à sa cadence et qui est le mien. Vous n'avez pas le monopole du coeur.
Valéry Giscard d'Estaing
Tout souffle, tout rayon ou propice ou fatal, - Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, - Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore - Mit au centre de tout comme un écho sonore !
Victor Hugo
Tels sont les caprices d'une imagination forte ; pour peu qu'elle conçoive une joie, elle suppose un messager qui l'apporte.
William Shakespeare