Citation de Henry de Montherlant

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Qui donc sait ce que c'est que l'angoisse, et a jamais fait quoi que ce soit pour la calmer chez son prochain ?... - Henry de Montherlant

Qui donc sait ce que c'est que l'angoisse, et a jamais fait quoi que ce soit pour la calmer chez son prochain ?

Henry de Montherlant

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C'est toujours dans les caves de l'oppression que se préparent les vérités nouvelles...

Antoine de Saint-Exupéry

Il viendra un jour où le grand artiste sera une chose vieillie, presque inutile.

Ernest Renan

C'est une chose redoutable que les propos du peuple animé par le ressentiment, et l'on paye toujours sa dette à la malédiction populaire.

Eschyle

J'ai appris le français avant d'apprendre l'espagnol.

Eva Longoria

Elle était salope à faire divorcer un curé fraîchement marié.

Frédéric Dard

La recherche patiente et sans fadeur d'un bonheur partagé entre tous reste une idée neuve à la télévision comme... ailleurs.

Georges Kiejman

On a le coeur qui bat, quand on revient après une longue absence. C'est comme après la guerre. On avance dans les rues en flairant un peu, cherchant les traces. On guette les bruits familiers, on remonte des filières.

J. M. G. Le Clézio

Ilz adviserent que chascun d'eulx, à son tour, despecheroit les affaires six heures du jour et six heures de la nuict.

Jacques Amyot

Combien de gens dans le monde, qui, pareils aux diamants, ne doivent leur éclat qu'au grand jour auquel ils sont exposés et qu'ils reflètent !

Jean Antoine Petit-Senn

La paresse, l'indolence et l'oisiveté, vices si naturels aux enfants, disparaissent dans leurs jeux, où ils sont vifs, appliqués, exacts...

Jean de La Bruyère

D'autres goûts avaient un peu attiédi l'affection paternelle depuis que je vivais loin de lui.

Jean-Jacques Rousseau

C'est presque toujours par erreur qu'on apprend...

Michel Chevrier

Les excès tuent plus sûrement que les épées.

Proverbe Chinois

Eau de février - Vaut jus de fumier.

Proverbe Français

Où vais-je ? Je ne sais. Mais je me sens poussé D'un souffle impétueux, d'un destin insensé.

Victor Hugo