Dans la jeunesse évitons la fougue des passions, dans l'âge mûr les spéculations malsaines d'argent ou d'ambition, et dans la vieillesse enfin essayons de nous faire pardonner nos infirmités par beaucoup de bienveillance, de douce gaîté et d'abnégation. Quand on ne peut plus vivre pour soi, il faut savoir vivre pour les autres.