Les spéculations les plus sûres sont celles qui reposent sur la vanité, sur l'amour-propre, l'envie de paraitre. Ces sentiments-là ne meurent jamais.
Honoré de Balzac
Je ne séduis pas, je cède.
Albert Camus
Le soupçon qu'on veut fuir vous ronge à tous moments.
Casimir Delavigne
Elle était aussi dégoûtée de lui qu'il était fatigué d'elle.
Gustave Flaubert
Plus je vieillis, plus je vois que ce qui ne s'évanouit pas, ce sont les rêves.
Jean Cocteau
Milord Maréchal aimait à conter, mais ne contait jamais qu'à propos, avec simplicité, quoique avec finesse, et surtout avec ce bon goût qui écarte les détails inutiles.
Jean Le Rond d'Alembert
A force de prévoir l'avenir, on nous le rend aussi fastidieux qu'un passé.
Jean Rostand
Les socialistes millionnaires, j'ai idée que c'est comme les étrons de chiens. Ca doit porter bonheur.
Jules Romains
Mon charme me conférait un certain pouvoir - mais je voulais aussi être quelqu'un de bien.
Laura Kasischke
Les jeux sont souvent à l'origine des métiers et de nombreuses activités élevées, rituelles ou naturelles, essayées d'abord dans les activités de surplus que constituent les jeux.
Marcel Mauss
L'amour, c'est une question d'éclairage. on voit d'abord le côté lumineux et puis, avec le temps, les ombres apparaissent.
Michel Galabru
Y penser sans cesse ne labourera pas le champ.
Proverbe Irlandais
Quand les vieilles paroles expirent sur la langue, de nouvelles mélodies jaillissent du coeur ; et là où les vieilles pistes sont perdues, une nouvelle contrée se découvre avec ses merveilles.
Rabindranath Tagore
Aujourd'hui, je suis cool. Avant, je rentrais dans le lard des gens. Je m'énervais, j'étais en colère. Le temps m'a adoucie. On est énervé quand on est jeune, et un jour, on comprend que ça peut venir des autres. On dit alors les choses de manière plus... tolérante.
Sophie Marceau
Un prix est toujours décerné par des gens incompétents qui veulent vous chier sur la tête quand on accepte leur prix en mains propres.
Thomas Bernhard
O vie universelle, où donc est ton dictame ? Qu'est-ce que ton baiser ? Un lèchement de flamme.
Victor Hugo