A force de s'intéresser à tout, le Parisien finit par ne s'intéresser à rien.
Honoré de Balzac
Un tout, c'est ce qui a un commencement, un milieu et une fin.
Aristote
Source encore glacée, miroirs gelés, Rois sortant tout raidis d'or des ténèbres de décembre, c'est janvier, en marche vers la Chandeleur, qui détient l'indiscernable futur.
Colette
J'avais basculé d'un coup du royaume de la solitude dans celui de l'amour et je trouvais curieux d'avoir le même visage, le même nom, le même âge.
Françoise Sagan
Evidence : Vous aveugle, quand elle ne crève pas les yeux.
Gustave Flaubert
Bouchers : Sont terribles en temps de révolution.
La richesse engendre l'esprit de contestation du système, la pauvreté les révolutions
Hugo Pratt
La femelle poisson pond ses oeufs au fond, et le mâle vient déposer son sperme dessus, il sait même pas si la poissonne a des gros nichons.
Jean-Marie Gourio
On nous montre comment, avec les détergents actuels, on peut enlever des taches de sang. Mais il est probable qu'avec un t-shirt couvert de sang, notre soucis premier ne soit pas de faire partir la tache mais de trouver un endroit pour cacher le corps.
Jerry Seinfeld
La force de l'Internet se manifeste en grande partie, dans la capacité de navigation que permet le réseau.
Joël de Rosnay
La porte reste toujours ouverte, mais certains d'entre nous ont fini par tant aimer leur cage de fer qu'il faut nous arracher à nous-mêmes pour que nous puissions supporter de la quitter.
John Middleton Murry Jr.
Pour devenir officier, il faut avoir été sous-officier. Pour devenir marin, il n'est pas nécessaire d'avoir été sous-marin.
Philippe Geluck
Seul le fantastique a des chances d'être vrai.
Pierre Teilhard de Chardin
Un second mariage est le triomphe de l'espérance sur l'expérience.
Samuel Johnson
La mémoire a tendance à avoir des ratés passé soixante-cinq ans, quand les gens franchissent la troisième base et entament le dernier sprint vers le marbre.
Stephen King
C'était tous les jours de nouvelles accusations ; la première est repoussée, la seconde effleure, la troisième blesse, la quatrième tue.
Voltaire