Lorsqu'on dit d'une personne qu'elle est estimable, on sous-entend qu'elle est méprisée de tous.
Irène de Buisseret
Dictionnaire : douteux dispositif académique destiné à entraver l'évolution d'un langage et à en scléroser le fonctionnement.
Ambrose Bierce
Point ne se fane bouche baisée.
Colette
Le jour où la France coupa la tête à son roi, elle commit un suicide.
Ernest Renan
Elle était régulièrement belle ; l'on remarquait sur son visage je ne sais quoi de vertueux et de passionné dont l'attrait était irrésistible.
François-René de Chateaubriand
Laisse moi mon stylo, y'a pas moyen que je m'arrête ; j'ai une envie d'écrire comme t'as une envie de cigarette.
Grand Corps Malade
Les cigares sont souvent une sorte de ciment social dans les familles... La transmission de l'amour du cigare crée des liens entre les générations.
Gwen Martin
Penser que nous sommes sur terre toute une armée de femmes qui hurlent en silence, et toute une armée d'hommes aussi. Et nous nous entendons à peine les uns et les autres.
Liv Johanne Ullmann
Il n'y a point de faiseur de stances qui ne se préfère à Bossuet, simple auteur de prose ; et, dans l'ordre de la nature, nul ne doit penser aussi peu juste qu'un génie manqué.
Luc de Clapiers
Les hommes pratiquent le stress comme si c'était un sport.
Madeleine Ferron
Un père, c'est comme une chanson que l'on a écouté souvent sans jamais prêter attention aux paroles et dont un jour insensiblement on reprend les mots.
Philippe Bartherotte
Le bonheur c'est aussi souvent de ne plus faire certaines choses qu'on croyait indispensables.
Philippe Bouvard
Il n'est métal si dur que le feu n'amollisse, ni affaire si mauvaise que l'argent n'accommode.
Proverbe Chinois
Il est plus facile de désirer quelque chose que de le posséder. Souvent, quand on obtient enfin la chose qu'on voulait depuis longtemps, on est déjà absorbé par ses nombreux substituts.
Toni Bentley
Je suis en train d'apprendre la différence entre fuir quelque chose et fuir vers quelque chose.
Tracy Chevalier
Pour mille baisers tu achèteras mon coeur, et tu les paieras à ton loisir, un à un.
William Shakespeare