Ce que nous appelons la beauté est simplement un pressentiment de la terreur, lui dit Rilke. Nous nous prosternons devant la beauté pour la remercier de dédaigner de nous détruire. Le détruiraient-elles s'il s'aventurait trop près, ces belles créatures venues d'autres mondes, ces anges, ou le trouveraient-elles trop insignifiant pour ça ?