Citation de Jack Benny

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Donne-moi des clubs de golf, de l'air frais et une jolie partenaire, et tu peux garder les clubs et l'air frais.... - Jack Benny

Donne-moi des clubs de golf, de l'air frais et une jolie partenaire, et tu peux garder les clubs et l'air frais.

Jack Benny

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Moi, si je sais ce que c'est que d'être cocu ? Ah ben ! ce serait malheureux, à mon âge, si je savais pas ça. Un cocu, c'est un type qu'est marié et que sa femme lui fait des blagues avec d'autres types.

Alphonse Allais

Ils avaient fini par croire que la race des meuniers était éteinte.

Alphonse Daudet

La dérision est peut-être un rempart contre la solitude. En effet, les moqueurs veulent un public, et celui qui en est la victime est toujours seul.

Amos Oz

Pour se donner les joies de l'adultère, il faut être une personne pieuse.

Anatole France

Qui dort a son rêve. Qui meurt est tout seul.

Charles de Leusse

Ici-bas, on ne peut jamais vivre son rêve, la vie est si petite et le rêve si grand.

Élisabeth de Wied

La virginité est le plus riche trésor des filles, mais il est bien malaisé de garder longtemps un trésor dont tous les hommes possèdent la clé.

François de Bassompierre

Dans les relations humaines, le tact est le maximum qu'on puisse atteindre. Vous me demanderez : et l'affection ? Oui, mais il faut la pratiquer avec tact.

Imre Kertész

Il convient de fermer les yeux lorsque ceux-ci révèlent les pensées.

Jiang Zilong

Je pense que la religion est une chose amusante parce que, quand on voit quelqu'un qui peut vraiment la décomposer, on a parfois l'impression d'être stupide de croire ce que l'on croit.

Kevin Costner

Maintenant, j'écris des pages. On m'a dit : "Fais-le bien." Quand j'ai besoin de faire le vide, je fais le plein.

Nekfeu

Il faut que le coeur se brise ou se bronze.

Nicolas de Chamfort

On oublie très aisément que, par nécessité de son état, le poète doit être le dernier des hommes à se payer de mots.

Paul Valéry

La beauté de son regard corrigeait cet excès de grâce.

Victor Hugo

J'ai l'impression que nous sommes tous à bord d'un bus qui avance inexorablement vers une direction commune. On s'y croise, on s'y perd, on s'y accompagne parfois. Certains en descendent avant le terminus. On ne peut pas le freiner, on ne peut pas l'arrêter quelques instants, on peut juste faire en sorte de s'y sentir le mieux possible.

Virginie Grimaldi