Citation de Jack Nicholson

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La télé, c'est la maladie du cinéma.... - Jack Nicholson

La télé, c'est la maladie du cinéma.

Jack Nicholson

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Ah, ces mères juives, toutes les mêmes ! Toujours à vouloir engraisser leur progéniture de peur qu'elle dépérisse…

Belva Plain

Que reste-t-il de lui dans la tempête brève ? - Qu'est devenu mon coeur, navire déserté ? - Hélas ! Il a sombré dans l'abîme du Rêve !

Emile Nelligan

La recherche de la popularité est la marque du souverain ou de l'homme d'Etat de second ordre.

Ernest Renan

Qu'il reste seul... avec son déshonneur !

Eugène Scribe

Une patience et une douceur qu'on n'aurait jamais attendue d'une humeur si vive.

Jacques-Bénigne Bossuet

Nous savons organiser la guerre, mais savons-nous agir quand nous sommes confrontés à la paix ?

Jacques-Yves Cousteau

Le monde est une pensée qui ne se pense pas, suspendue à une pensée qui se pense.

Jules Lachelier

Je jure sur ma vie d'être ton nain de jardin jusqu'à ma mort si je ne viens pas au rendez-vous. Juré, ajoute-t-il en brandissant deux doigts.

Lisa McMann

Les principes de la religion sont une chose, les pratiques qui les prennent pour base en sont une autre. Les principes sont absolument indépendants du temps et de l'espace. Les pratiques changent selon l'époque et selon le lieu.

Mahatma Gandhi

Seins, fins régals des mains qu'ils gorgent de délices. - Seins lourds, puissants, un brin fiers et moqueurs, - Dandinés, balancés, et, se sentant forts et vainqueurs, - Vers nos prosternements comme regardant en coulisse.

Paul Verlaine

Ah, si l'on pouvait décanter une femme, - au lieu d'avoir, dès qu'on l'agite, ce goût de lie et de bouchon. Un grand Bordeaux se doit mettre en carafe.

Paul-Jean Toulet

On fera ça dès juin, dès que ce sera déneigé, car pour ce qui est du verglas, j'en ai soupé !

Roger Frison-Roche

Ainsi ce qui est utile est beau relativement à l'usage auquel il est utile.

Socrate

Si je pouvais mettre un pied devant l'autre, vous croyez bien que mes deux pieds seraient chez vous.

Voltaire

En outre, le facteur décisif qui me permit de m'épanouir dans cet institut fut que l'étude et la lecture n'étaient pas pour moi un pensum. Au contraire, enfermé comme je l'avais été jusqu'ici dans la Bible et les homélies galloises, il me semblait qu'à chaque page tournée s'ouvrait sous mes yeux une nouvelle porte. Je lisais tout...

W. G. Sebald