Citation de Jacques Amyot

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Un ris, un baillement, comme quand on a envie de dormir, est reprehensible.... - Jacques Amyot

Un ris, un baillement, comme quand on a envie de dormir, est reprehensible.

Jacques Amyot

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Amusante et un peu dangereuse traversée d'une très belle rivière, sur un pont chancelant et à demi ruiné.

André Gide

L'échafaud met à genou, Quand l'échafaud est debout.

Charles de Leusse

J'aime à garder dans mon cerveau une provision de souvenirs. Je sais qu'elle y est. Cela me suffit.

Emmanuel Bove

Il arriva en toilette des dimanches, mal à son aise dans cette atmosphère lugubre.

Gustave Flaubert

Certains types de catastrophes s'accumulent mais ne retombent jamais aussi nettement qu'un enfant d'un pommier.

Janet Burroway

Hé ! finissez, rimeur à la douzaine ! Vos abrégés sont longs au dernier point. Ami lecteur, vous voilà bien en peine ; Rendons-les courts en ne les lisant point.

Jean-Baptiste Rousseau

La vie est une suite d'enfances à n'en plus finir.

Jean-Paul Filion

Il est un sculpteur de vérité. Avec l'aplomb de ceux qui avancent avec dignité, jeune comme seuls certains vieux peuvent l'être, il continue de démontrer que l'anticipation reste la principale composante de son art rock génialement maîtrisé.

Jérôme Soligny

Cherche-toi donc toi-même ! Mais en se rencontrant, est-ce qu'on ne rencontre pas son propre néant ?

Miguel de Unamuno

Il n'y a pas d'homme qui puisse être, à lui tout seul, aussi méprisable qu'un corps. Il n'y a point de corps qui puisse être aussi méprisable que le public.

Nicolas de Chamfort

Ce qui est beau est bon et qui est bon sera bientôt beau également.

Sappho

Ne comptez jamais sur les encouragements des autres. Ce n'est jamais assez et jamais quand vous en avez besoin.

Sigourney Weaver

Un roman est comme un archet, la caisse du violon qui rend les sons, c'est l'âme du lecteur.

Stendhal

En économisant sur la chair, tu acquerras l'esprit.

Tertullien

Et c'est là que j'ai réalisé que plus jamais je ne verrai mes parents ensemble. Plus jamais je ne les verrai côte à côte, plus jamais je n'appellerai en même temps : Papa ! Maman !, comme deux noms collés papamaman, un début de phrase, mon premier mot.

Véronique Olmi