Citation de Jacques Amyot

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Ils devindrent plus violents en commandant à leurs subjects, après qu'ilz eurent osté le masque et la dissimulation de leur puissance... - Jacques Amyot

Ils devindrent plus violents en commandant à leurs subjects, après qu'ilz eurent osté le masque et la dissimulation de leur puissance absolue.

Jacques Amyot

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La raison est virile devant l'objet, puérile devant le récit.

Alain

Il est dans la nature même de notre espèce de vivre artificiellement.

Albert Jacquard

Dieu est l'âme universelle répandue dans la nature et dont cette âme que nous avons en nous n'est qu'un atome, une parcelle, un souffle, et qui cependant suffit pour nous animer. On ne voit pas Dieu, on le sent.

Alexandre Dumas

On naît amant comme on naît musicien, peintre ou poète.

Alfred Capus

Quand un écrivain commence à négocier son talent, il ne tarde pas à suspendre les paiements.

Armando Palacio Valdés

Être célibataire me pèse.

Christophe Dechavanne

Ulysse avait peut-être fait un beau voyage, mais pendant ce temps-là, sa femme, la malheureuse Peine-Lope, faisait tapisserie.

Claude Schnerb

La première étape consiste à définir clairement ce que vous recherchez, car sans le savoir, vous ne l'obtiendrez jamais.

Halle Berry

Ecoutez-les aboyer, ces vieux chevaux de retour.

Jack Lang

Il y avait là un dessous que je ne comprenais pas. Leur délire, leur dévorement d'eux-mêmes étaient-ils donc si grands qu'ils ne voyaient plus rien des prudences et des précautions de la vie ?...

Jules Barbey d'Aurevilly

Tout le monde est opportuniste, mais chacun ne le sait être avec opportunité.

Maurice Chapelan

Philosopher, c'est douter.

Michel de Montaigne

L'artiste n'est jamais pris au dépourvu. Il peut exprimer toute chose.

Oscar Wilde

Il y a des femmes de talent : aucune n'a cette folie dans le talent qu'on appelle le génie.

Simone de Beauvoir

Dans ces deux patries de la vertu, tous les citoyens sont égaux, toutes les consciences sont libres, toutes les religions sont bonnes, pourvu qu'on adore un Dieu ; tous les hommes y sont frères.

Voltaire