La Terre est un objet vivant parcouru de nomades de plus en plus nombreux.
Jacques Attali
Je me sens incapable de prendre un crayon pour dessiner tout cela, je ne suis plus sûr d'être venu pour apprendre à peindre. Peut-être apprendre à sentir, à voir, à vivre. Ce serait déjà beaucoup.
Anne Percin
Aucun espoir tant que vous ne ressentirez pas de nouveau comme un coup porté à tous les hommes l'injustice subie par un seul.
Antoine de Saint-Exupéry
Les milliardaires sont les prolétaires de la post-humanité.
Aurélien Bellanger
L'angoisse semble-t-il, constitue l'humanité : ce n'est pas l'angoisse seule, mais l'angoisse dépassée, mais le dépassement de l'angoisse. La vie est en son essence un excès, elle est la prodigalité de la vie.
Georges Bataille
Surveillants et surveillés fuient sur un océan sans bords.
Guy Debord
Oh ! errer dans Paris ! adorable et délicieuse existence ! Flâner est une science, c'est la gastronomie de l'oeil.
Honoré de Balzac
Par religion, donc, j'entends l'intercession et la conciliation des puissances supérieures à l'homme qui sont censées diriger er contrôler l'évolution de la nature et de la vie humaines.
James George Frazer
Monsieur, je vous demande excuse, je ne l'ai pas fait exprès.
Marie-Antoinette d'Autriche
Cet homme qui exposait son vin à la critique des noix, ne pouvait avoir une mauvaise cave !
Maurice Constantin-Weyer
Si un homme s'est formé un caractère bien trempé, ce que les gens disent de lui l'indiffère parce qu'à la fin, c'est lui qui gagnera.
Napoleon Hill
Il faut que votre sexe ait fait une étude bien réfléchie de l'art de se composer, pour réussir à ce point !
Pierre-Augustin Caron
A la Saint-Fortuné, - Grande hannetonnée.
Proverbe Français
Quelle ingratitude, quand je pense au nombre de fois où je t'ai sauvé la vie.
Sergio Leone
L'inconvénient avec le mot union, c'est que quand vous le mettez au pluriel, ça fait des unions.
Vincent Roca
Je voudrais bien savoir quel plaisir prennent les puissances chrétiennes à recevoir tous les jours des nasardes sur le nez de leurs ambassadeurs dans le divan de Stamboul.
Voltaire