Citation de Jacques Brel

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Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir... - Jacques Brel

Je vous souhaite de respecter les différences des autres, parce que le mérite et la valeur de chacun sont souvent à découvrir

Jacques Brel

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Un homme qui a fait une fois un bond dans le Paradis, comment pourrait-il s'accommoder ensuite de la vie de tout le monde ?

Alain Fournier

On ne comprend rien à la marche du monde si l'on s'imagine que les hommes agissent toujours avec sagesse. La déraison est le principe mâle de l'Histoire.

Amin Maalouf

Un ami de jeunesse, c'est un frère adoptif. Tu peux regretter de l'avoir adopté, mais tu ne peux plus le désadopter.

Amin Maalouf

Même quand elle marche on croirait qu'elle danse.

Charles Baudelaire

La crainte est impossible à maîtriser quand elle est excessive.

Eschyle

Ce qui est curieux, ce n'est pas tant qu'on ait tout dit, mais qu'on ait tout dit en vain, de sorte que tout est toujours à redire.

Jacques Bainville

A l'auteur qui fait aimer ses livres, je préfère celui qui s'y fait aimer.

Jean Antoine Petit-Senn

On assure que Despréaux et son ami Racine trempèrent dans l'élection de l'abbé de Mauroy, par le seul motif d'écarter Fontenelle, son concurrent.

Jean Le Rond d'Alembert

Tout ce que j'ai appris à être, je ne le suis plus quand j'écris.

Marie Laberge

Le fisc est assurément le plus grand des guérisseurs. Il pratique largement "l'imposition" des deux mains.

Noctuel

La seule foi qui me reste, et encore ! c'est la foi dans les Dictionnaires.

Paul Léautaud

Mes mains dessinent dans le soir la forme d'un espoir qui ressemble à ton corps.

Pierre Delanoë

La présence d'esprit s'invite partout, et élimine toutes les différences.

Ralph Waldo Emerson

Lorsqu'on ne choisit pas, on ne peut aimer ni les choses ni les êtres. Au mieux peut-on les voir avec indifférence.

Victor-Lévy Beaulieu

L'homme aux quarante écus s'étant beaucoup formé, et ayant fait une petite fortune, épousa une jolie fille qui possédait cent écus de rente.

Voltaire