Quand j'étais plus jeune, et que la guerre d'Algérie sévissait, j'ai souhaité partir en Algérie parce que j'avais le sentiment que c'était là une manière de servir. Et je ne voyais pas pourquoi je resterais comme la plupart de mes camarades de l'ENA dans des bureaux parisiens, au service de la paperasserie.