Les monarchies meurent du favoritisme. Les démocraties ont le leur. Il se nomme démagogie. Et elles en meurent aussi.
Jacques de Lacretelle
Monseigneur Decourtray n'a rien compris au préservatif, il le met à l'index.
André Santini
Le football permettait aux peuples de briller à la face du monde sans tenir compte de différences de langues, de religions, de cultures ou de richesses.
Bernard Werber
Parler de charité, c'est parler de vanité, et de commerce. Car on donne pour paraître ou pour plaire à Dieu. Dont plusieurs croient acheter ainsi la protection...
Chrystine Brouillet
L'optimiste crée sa chance, le pessimiste lui fait peur.
Etienne Rey
Moi je vais aller acheter du W40 au garage et vous en passer à tous pour vous dégripper.
Francis Mariani
Si on court à l'infini, on revient à son point de départ.
Kate Atkinson
C'est bien agréable une langue dont on ne comprend rien... C'est comme un brouillard aussi qui vadrouille dans les idées... C'est bon, y a pas meilleur... C'est admirable tant que les mots ne sortent pas du rêve...
Louis-Ferdinand Céline
Aucune chance de les séduire en leur disant : "Vous n'êtes pas mal". Il faut aller au moins jusqu'à : "Vous êtes unique au monde", minimum qu'elles tolèrent.
Tout ce qui est partagé s'amoindrit, sauf l'amour, intervint l'aîné.
Massa Makan Diabaté
e temps de l'anomalie est venu, nous devons apprendre à vivre dans cette anomalie, à trouver des raisons de l'accueillir qui ne soient pas uniquement la peur de mourir. Il est peut-être vrai que les virus sont privés d'intelligence, cependant ils sont en cela plus habiles que nous : ils ont la capacité de muter rapidement, de s'adapter. Nous avons intérêt à en prendre de la graine (…).
Paolo Giordano
Lorsqu'on n'aime plus, on perd jusqu'à la mémoire de l'amour.
Pedro Calderón de la Barca
Je répugne à me lire dans les citations.
Pierre Jean Jouve
Cheval vaut plus que richesse.
Proverbe Espagnol
Il faut puiser tandis que la corde est au puits.
Proverbe Français
L'amitié, dont la sagesse n'est pas le noeud, est aisément désunie par la folie.
William Shakespeare