Citation de Jacques Ferron

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Le temps ne passe pas deux fois ; quand il est passé, il ne passe plus : on l'oublie. Puis, lorsqu'on ne s'en souvient plus... - Jacques Ferron

Le temps ne passe pas deux fois ; quand il est passé, il ne passe plus : on l'oublie. Puis, lorsqu'on ne s'en souvient plus, on dit "Mon Dieu, qu'il passe vite !"

Jacques Ferron

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La plupart du temps, nous mourons de faiblesse, nous ne mourons de ne rien oser.

Alain Fournier

Puérils sont les mots Vaine l'écriture Effréné pourtant le désarroi du coeur.

Andrée Chedid

La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.

Anonyme

Cherchons comme cherchent ceux qui doivent trouver et trouvons comme trouvent ceux qui doivent chercher encore. Car il est écrit : celui qui est arrivé au terme ne fait que commencer.

Augustin d'Hippone

Néant ! Accepter le grand néant de vivre semblait être le seul but de la vie. Toutes les petites choses affairées ou importantes qui composent le grand total du néant.

D. H. Lawrence

La politique comporte plus d'un étage et chaque étage un certain nombre d'appartements.

Jacques Audiberti

De notre naissance à notre mort, nous sommes un cortège d'autres qui sont reliés par un fil ténu.

Jean Cocteau

Parbleu ! dit le meunier, est bien fou du cerveau - Qui prétend contenter tout le monde et son père.

Jean de La Fontaine

Personne n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être.

Johann Wolfgang von Goethe

Les fausses opinions ressemblent à la fausse monnaie qui est frappée d'abord par de grands coupables, et dépensée ensuite par d'honnêtes gens qui perpétuent le crime sans savoir ce qu'ils font.

Joseph de Maistre

Il y a peut-être plus d'esprits légers dans ce qu'on appelle le monde, que dans les conditions moins fortunées.

Luc de Clapiers

Autrui nous est indifférent et l'indifférence n'incline pas à la méchanceté.

Marcel Proust

Le coeur de l'homme parfait est comme une mer dont on ne peut découvrir les lointains rivages.

Proverbe Chinois

Des lecteurs de 1912-1913 n'auraient pas été surpris par la férocité de la violence interethnique qui éclata dans la région des Balkans des dizaines d'années plus tard.

Robert John Service

Les feuilles mortes ont été la première mélodie que j'ai joué au piano... Je fus aussi ému quand j'ai vu sa tombe au père lachaise... mais j'ai eu du mal à la trouver, pas vous ?

Yves Montand