Citation de Jacques Folch-Ribas

← Précédent Suivant →
Il convient de se taire sur les choses importantes devant ceux qui ne sont point faits pour les entendre.... - Jacques Folch-Ribas

Il convient de se taire sur les choses importantes devant ceux qui ne sont point faits pour les entendre.

Jacques Folch-Ribas

Toutes les citations de Jacques Folch-Ribas →

Explorer les Citations

La vengeance, c'est la volupté du paradis.

André Thérive

Il est difficile aux amants de s'entretenir longtemps debout.

Antoine Bret

Ce qui détruit une personne ce n'est pas de savoir, mais savoir et ne rien faire.

Carolyn M. Rodgers

Souvent on se donne bien de la peine pour n'être en définitif que ridicule.

Chrétien Guillaume de Malesherbes

Et de son côté, Justine voudrait-elle risquer ses moeurs dans la société d'une créature perverse qui allait devenir victime de la crapule et de la débauche publique.

Donatien Alphonse François de Sade

Un homme se doit à son pays, une femme se doit à son devoir.

George Sand

La vie encore laisse tout au même plan, précipite les faits ou les traîne indéfiniment. L'art, au contraire, consiste à user de précautions et de préparations, à ménager des transitions savantes et dissimulées.

Guy de Maupassant

Tout humain fonctionne selon un schéma régulier quant à ses pensées et à ses actes. Cette régularité provoque forcément des faiblesses.

Haruki Murakami

La douleur, de même que le plaisir, a son initiation.

Honoré de Balzac

Un véritable ami c'est celui que tu souhaites retrouver après la mort.

Jef

L'essor du caoutchouc était tel que beaucoup s'étaient improvisés planteurs, du jour au lendemain, sans compétence.

Marguerite Duras

L'étude de l'homme physique est également intéressante pour le médecin et pour le moraliste.

Pierre Jean Georges Cabanis

Un homme grand est un sot.

Proverbe Français

C'est important quand on fait une déprime de sentir qu'il y a quelqu'un qui s'intéresse à vous au bout du fil et attend anxieusement de vos nouvelles. Ca vous donne de l'intérêt.

Romain Gary

Nous sommes les tendres lapins Assis sur leurs petits derrières.

Théodore de Banville