Citation de Jacques Lamarche

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Tous les pays se ressemblent quand on les regarde, avec les yeux de l'amour puisque tous les pays portent en eux, maintenant, la ma... - Jacques Lamarche

Tous les pays se ressemblent quand on les regarde, avec les yeux de l'amour puisque tous les pays portent en eux, maintenant, la marque des hommes et du temps.

Jacques Lamarche

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L'expérience de la vie nous apprend indéniablement à oublier tant soit peu, au fur et à mesure, son plan d'ensemble, et à nous intéresser davantage aux détails qu'elle ne cesse de produire.

Alain Chareyre-Méjan

Je suis un gentil vaurien.

Anonyme

Le loup criait sous les feuilles - En crachant les plumes - De son repas de volailles : - Comme lui je me consume.

Arthur Rimbaud

Il n'y a rien de plus stressant que votre estomac grognant.

Chadwick Boseman

Chaque instant est bonheur à qui est capable de le voir comme tel.

Henry Miller

Aujourd'hui, il n'est rien de sacré pour les femmes.

Homère

Elle leur monstra un flambeau ardent de dessus un figuier sauvage, en estendant derriere quelques tapis et couvertures.

Jacques Amyot

Je lis tous les jours et tous les jours je m'aperçois qu'il me reste tout à lire. Et de temps en temps, je dois relire même si je ne relis que ce qui est digne du privilège de la relecture.

Jaume Cabré

T'as pas le droit de faire justice toi-même, sauf si t'es le juge.

Jean-Marie Gourio

Sur quelque préférence une estime se fonde, Et c'est n'estimer rien qu'estimer tout le monde.

Molière

Le désir d'originalité est le père de toutes les imitations. Rien de plus original, rien de plus soi que de se nourrir des autres. Mais il faut les digérer. Le lion est fait de moutons assimilés.

Paul Valéry

Le cuisinier doit avoir la langue de son maître.

Proverbe Allemand

Les macarons, c'est comme toi : craquants au-dehors et moelleux en-dedans.

Simonetta Greggio

Les compliments sont une fausse monnaie dont on paye souvent de bons services rendus.

Stanislas Leszczinski

Aujourd'hui, alors que je suis moi-même devenue éditrice, j'ai beaucoup de mal à comprendre que de prestigieux professionnels du monde littéraire aient pu publier les volumes du journal de G., comportant les prénoms, les lieux, les dates et tous les détails permettant, du moins pour leur entourage proche, d'identifier ses victimes...

Vanessa Springora