Citation de James Agee

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Nous sommes les premiers à admettre qu'à considérer l'Amérique de long en large, les loisirs de son peuple semblent encore plus sinistres... - James Agee

Nous sommes les premiers à admettre qu'à considérer l'Amérique de long en large, les loisirs de son peuple semblent encore plus sinistres que son travail.

James Agee

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On se construit sur ce qu'on a vécu, en reproduisant ou en exorcisant.

Agnès Ledig

La mer fait divaguer les vagues, les pensées et les voiliers : même la tête elle aussi divague et les routes qui hier étaient là aujourd'hui n'y sont pas.

Alessandro Baricco

Comme si la mort savait conclure Comme si la vie pouvait gagner.

André Frénaud

On n'est libre qu'en étant seul.

Arthur Schopenhauer

Les bonnes manières, c'est le prétexte de ceux qui voudraient en avoir de mauvaises de temps en temps.

Bernard Pivot

Le feu éprouve l'or et l'or éprouve l'homme.

Chilon

Ce titre d'amitié n'est souvent qu'une ruse, Que l'amour met en oeuvre et dont l'orgueil abuse.

Claude-Henri de Fusée

Faire courir des risques inutiles à sa propre existence est un signe d'immaturité.

Edward Bunker

Un homme seul n'est entouré que de vide.

Efua Theodora Sutherland

Convoiterai-je la servante de mon prochain ? Tout cela s'accorderait mal avec un bon sommeil.

Friedrich Nietzsche

Il y a entre nous tout de même une différence : toi, tu t'ennuies avec moi, et moi, je m'ennuie sans toi.

Ilia Ilf

Il ne faut pas attendre d'avoir de fausses dents pour mordre dans le fruit défendu.

Jacques Deval

Lérins : Iles abritant un monastère où l'évêque Cauchon a inventé un célèbre apéritif appelé Lérins Cauchon

Marc Escayrol

La miséricorde est un principe général de conduite à l'usage de ceux qui ne veulent pas abdiquer devant la lâcheté, le doute et la bêtise. La miséricorde permet à l'homme flétri de reverdir. Ma miséricorde est un engrais dont je fais grand usage.

Olivier de Kersauson

Au fil des ans, votre âge, votre vie évoluent, vous devenez un meilleur écrivain. Puis, à partir de 70 ou 80 ans, vous êtes fatigué, voire épuisé. Vos facultés mentales déclinent. Enfin, et c'est le plus important : votre mémoire s'érode, elle rouille et vous perdez le lien direct avec elle. Ces trois phénomènes combinés font du grand âge un moment où l'écrivain devient généralement mauvais.

Philip Roth