Citation de Jean Anthelme Brillat-Savarin

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La salade survint. (J'en recommande l'usage à tous ceux qui ont confiance en moi, la salade rafraîchit sans affaiblir,... - Jean Anthelme Brillat-Savarin

La salade survint. (J'en recommande l'usage à tous ceux qui ont confiance en moi, la salade rafraîchit sans affaiblir, et conforte sans irriter : j'ai coutume de dire qu'elle rajeunit.)

Jean Anthelme Brillat-Savarin

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L'esclave est un homme libre s'il commande à ses appétits. L'homme libre est un esclave s'il court après ses plaisirs.

Al-Kindi

Les poubelles de l'histoire sont remplies de tendances prolongées.

Alphonse Allais

Pour me comprendre, vous avez à me rencontrer et être autour de moi. Et puis que si je suis de bonne humeur - ne me rencontrez pas dans une mauvaise humeur.

Avril Lavigne

Son sourire me paralyse comme un chat la nuit devant les phares d'une voiture.

Davide Cali

On dit aux jeunes filles d'être des princesses délicates, Hermione m'a appris qu'on pouvait être une battante.

Emma Watson

L'heure est comme une nef sur la mer du silence.

Fleury Vindry

Existe-t-il une solitude plus grande que celle d'un être humain qui doit affronter la mort tout seul, sans personne pour l'accompagner ?

Henning Mankell

Romulus leur alla incontinent au devant avec son armée, et les desfeit en bataille.

Jacques Amyot

Le jeune homme desesperant de pouvoir jouir de ses amours, en fut si desplaisant, qu'il se noya.

Jacques Amyot

Depuis longtemps déjà l'Empire romain agonisait.

Jacques Bainville

Le poète est le Roi des Gueux.

Jean Richepin

Le nombre des pages de ce livre est exactement infini. Aucune n'est la première, aucune n'est la dernière.

Jorge Luis Borges

Je chante la grande joie de te chanter, La grande joie de t'avoir ou de ne pas t'avoir, La candeur de l'attente, l'innocence de te connaître O toi qui supprimes l'oubli, l'espoir et l'ignorance, Qui supprimes l'absence qui me mets au monde.

Paul Éluard

La véritable nuit est dans le coeur des fleurs, des grandes fleurs noires qui ne s'ouvrent jamais.

René Daumal

Après Staline, chez nous, on ne voit plus la mort de la même façon... On se souvient des frères qui tuaient leurs frères... Des exécutions massives de gens qui ne savaient pas pourquoi on les assassinait... C'est resté en nous, ça, c'est toujours présent dans notre vie. Nous avons grandi parmi des bourreaux et des victimes...

Svetlana Aleksievitch