Citation de Jean Antoine Petit-Senn

← Précédent Suivant →
Les maux qui abrègent la vie en allongent la durée pour le patient. Celui qui a beaucoup souffert a longtemps vécu.... - Jean Antoine Petit-Senn

Les maux qui abrègent la vie en allongent la durée pour le patient. Celui qui a beaucoup souffert a longtemps vécu.

Jean Antoine Petit-Senn

Toutes les citations de Jean Antoine Petit-Senn →

Explorer les Citations

En étant producteur, je choisissais mes auteurs, mes metteurs en scène, mes acteurs. Je choisissais tout

Alain Delon

Quand tu dors, tu oublies tous tes soucis, a toujours dit Ali à ses fils pour les obliger à aller se coucher, c'est une chance merveilleuse et ça ne dure que quelques heures, alors profite.

Alice Zeniter

Je crois qu'on ne peut rien faire de vous, sinon ça : passer outre à toute compréhension, à toute prévision, et vous aimer, inlassablement vous aimer.

Christian Bobin

C'est un péché de penser du mal des autres, mais c'est rarement une erreur.

H. L. Mencken

La jeunesse s'accroche au bonheur comme à un droit inaliénable.

Henry David Thoreau

En politique, on n'est jamais sûr de rien. Toutefois, l'incertitude du résultat ne doit pas nous empêcher de travailler très fort pour y parvenir.

Jean-Yves Soucy

Il est quelquefois bon d'employer les énigmes pour forcer l'esprit à réfléchir sur des choses que sans cette forme il eût peut-être oubliées.

Johann David Wyss

Mais il (Luther) était persuadé que l'homme n'obtenait pas son pardon et la rémission de ses péchés en observant des rituels religieux.

Jostein Gaarder

On se trompe peut-être toujours quand il s'agit de juger le coeur des autres.

Louis-Ferdinand Céline

La lâcheté est le pire de tous les défauts !

Mikhaïl Boulgakov

L'homme qui voit à 50 ans le monde comme il le voyait à 20 a gaspillé 30 ans de sa vie.

Mohamed Ali

Il n'y a si petite mouche qui n'ait sa petite croix.

Proverbe Français

Jeux de chats, pleurs de souris.

Proverbe Russe

Un ministre qui se repose sur l'un ou sur l'autre pour régner, s'expose à l'orage.

Sébastien Le Prestre de Vauban

Moins de mâles, moins de guerres. Ça lui paraît lumineux. Elle voudrait savoir pourquoi aucune société ne tente le coup. Tant que les femmes consentiront à faire naître des bébés mâles, l'humanité restera un bourbier dégueulasse.

Virginie Despentes