Citation de Jean-Claude Delamétherie

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L'amour est un feu dévorant qui s'augmente par les obstacles, et qui s'éteint dès qu'il n'en rencontre plus. Il ne dure pas... - Jean-Claude Delamétherie

L'amour est un feu dévorant qui s'augmente par les obstacles, et qui s'éteint dès qu'il n'en rencontre plus. Il ne dure pas longtemps, et sa fin la plus heureuse est de se changer en amitié ; car souvent il se tourne en haine.

Jean-Claude Delamétherie

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Toute fabrication est un dialogue entre le fabriquant et la matière.

André Leroi-Gourhan

Les enfants poussaient sur la misère comme des champignons sur le fumier.

Emile Zola

Quelle plaie chez les méchants qu'une langue affilée !

Euripide

La vie est, à mes yeux, instinct de croissance, de durée, d'accumulation de forces, de puissance : là où la volonté de puissance fait défaut, il y a déclin.

Friedrich Nietzsche

La satire est une sorte de miroir dans lequel les spectateurs découvrent généralement le visage de tout le monde, mais pas le leur.

Jonathan Swift

L'espoir fait vivre, mais ceux qui vivent d'espoir meurt de faim.

Lino Ventura

La meilleure manière de prendre les choses du bon côté, c'est d'attendre qu'elles se retournent.

P. Ouanich

Presque toujours, les dîners de moins de huit ou dix personnes se terminent au spectacle ; la plupart des cabarets de nuit offrent de véritables revues.

Paul Morand

Peut-elle s'abaisser jusqu'à souffrir ma vue ?

Pierre Corneille

Précipice élevé d'où tombe mon honneur !

Pierre Corneille

En occupant les autres de leur propre intérêt, on les empêche de nuire à l'intérêt d'autrui.

Pierre-Augustin Caron

Les conversations avec ma mère, mon père, mes grands-parents, en grandissant, m'ont évidemment poussé à vouloir essayer de faire la différence autant que possible.

Prince Harry

Le bonheur qu'elle ressentit en ce moment la sépara pour toujours de la vertu.

Stendhal

Heureux celui que les arbres caressent, que le vent conseille, que les enterrements saluent.

Théodore Fraenkel

Nous disséquons des mouches, dit le philosophe, nous mesurons des lignes, nous assemblons des nombres ; nous sommes d'accord sur deux ou trois points que nous entendons, et nous disputons sur deux ou trois mille que nous n'entendons pas.

Voltaire