Citation de Jean Cocteau

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Elisabeth, en échange, devenait une fanfaronne, une grotesque, une ânesse incapable de se rendre utile, de faire quoi que ce soit.... - Jean Cocteau

Elisabeth, en échange, devenait une fanfaronne, une grotesque, une ânesse incapable de se rendre utile, de faire quoi que ce soit.

Jean Cocteau

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L'éducation est semblable à un art ; elle est une création perpétuelle qui progresse en provoquant des rencontres toujours nouvelles. Le système éducatif peut donc être défini comme le lieu où l'on enseigne et où l'on pratique l'art de la rencontre...

Albert Jacquard

Il faut à une vie, une religion laïque ou mystique, une grande idée, une foi, même si cette foi est faite d'un universel doute... ou bien, il faut être tout à fait un imbécile et les imbéciles sont très malheureux.

Alexandra David-Néel

L'Histoire est à ceux qui l'écrivent.

André Brochu

Je suis en manque de toi, tu es ma drogue : je ne peux me passer de toi, de ton odeur, de ton dos, de ta bouche, de ta chaleur. Cette nuit va être longue.

Anonyme

Le changement n'est jamais facile, mais toujours possible.

Barack Obama

Le bonheur parfait est quelque chose de très proche de la tristesse.

Charlie Chaplin

Personne n'est plus heureux que le pauvre, car il ne peut craindre un pire état que le sien.

Diphile

Pour un psychiatre, le signe le plus probant de la folie chez un patient réside dans sa prétention à être sain d'esprit.

Frédéric Dard

Je ne suis pas un homme désespéré, mais je suis un homme qui lutte pour une cause désespérée.

Jacques Mesrine

Ce qu'il y a de plus subtil dans l'homme, c'est la sexualité.

Louis-Ferdinand Céline

Les Échecs, c'est le mouvement de pièces se mangeant l'une l'autre.

Marcel Duchamp

Que de prétextes, de paralogismes, d'excuses - fécondité, ingéniosité, - pour continuer à vivre !

Paul Valéry

Si vous cassez un bout de bois en deux, il y a encore deux bouts à chaque bout.

Raymond Devos

J'ai toujours préféré les plaisirs qu'on se procure à ceux que l'on vous présente.

Roger Peyrefitte

L'homme est puissant, il domine le ciel et la terre, dit-on, mais il est une force plus grande encore car la main qui réellement gouverne le monde est celle qui berce l'enfant.

William Wallace