Citation de Jean d'Ormesson

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Cette vie foisonnante de l'histoire est si merveilleusement riche qu'elle réduit à néant les inventions sans génie d'une imagina... - Jean d'Ormesson

Cette vie foisonnante de l'histoire est si merveilleusement riche qu'elle réduit à néant les inventions sans génie d'une imagination essoufflée.

Jean d'Ormesson

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Qui ne donne jamais, qui demande trop ou qui demande mal, reçoit peu.

Daniel Desbiens

La vérité du journaliste n'est pas celle du philosophe. Le premier cherche les faits, le dernier s'intéresse à ce qui les dépasse.

Elie Wiesel

L'esprit scientifique nous interdit d'avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes.

Gaston Bachelard

Quand un être vit de cruauté, d'argent, d'hypocrisie, de mensonge, il est mort.

Guy Godin

Et si doubtoit aussi d'un autre costé de prendre son chemin par la montagne, pour autant qu'il estoit long.

Jacques Amyot

Il faut peu de chose à un germe pour qu'il produise un monstre.

Jacques Spitz

Il n'y a de simple que l'hypocrisie et la routine.

Jean Giraudoux

Qui veut tenter l'histoire de la poésie, du drame ou du roman depuis un siècle, trouve d'abord que la technique s'en est lentement effritée, et dissociée.

Jean Paulhan

Pressez : demandez tout, pour ne rien obtenir.

Jean Racine

La voie de l'homme sage s'exerce sans lutter.

Lao Tseu

L'étroitesse d'esprit est un étau qui comprime aussi le coeur.

Louis Dumur

Un journal a écrit que ce qui nous manque, aux jeunes, c'est une guerre, ce qui ne nous apprend rien sur les jeunes, mais en dit long sur les vieux.

Romain Gary

Ma vie, ma lecture, tout de moi tourne autour du cinéma. Donc pour moi, le cinéma c'est la vie, et vice-versa.

Sergio Leone

Amitié, quel mot lépreux ! Chaque jour, et jusqu'à l'écoeurement, les gens l'ont à la bouche, et il est complètement déprécié, au moins aussi déprécié que le mot amour, mortellement piétiné.

Thomas Bernhard

Un acteur sur la scène, c'est une bûche dans le feu. Quand la flamme du dialogue le quitte, il doit lui rester la braise de la situation. Mauvais bois qui s'éteint dès qu'il ne flambe plus. Faut-il donc que le poète souffle toujours dessus ?

Victor Hugo