Citation de Jean de La Bruyère

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Les jeunes gens, à cause des passions qui les amusent, s'accommodent mieux de la solitude que les vieillards.... - Jean de La Bruyère

Les jeunes gens, à cause des passions qui les amusent, s'accommodent mieux de la solitude que les vieillards.

Jean de La Bruyère

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Le génie des affaires n'est pas forcément l'affaire des génies.

Bertrand Vac

C'est ici mon alliance, que vous garderez entre moi et vous, et ta postérité après toi : tout mâle parmi vous sera circoncis.

Bible

Dès que nous sommes en mesure de comprendre une théorie, une autre vient prendre sa place.

Carl Sagan

Il fit bien attention à ne pas marcher devant lui, parce que le gué est établi en biaisant, et qu'à droite comme à gauche, il y a de mauvais trous.

George Sand

Les chagrins d'amour sont aussi une forme d'amour.

Grégoire Delacourt

Une chose m'inquiète : si le Paradis a une porte, c'est qu'il y a des murs.

Grégoire Lacroix

En vérité, si l'enfer se trouve quelque part, il est dans l'humaine capacité de regretter.

John Middleton Murry Jr.

Il y a toujours, dans un mauvais auteur, le commencement, le quart, le milieu d'un grand écrivain.

Joseph Joubert

Recherchez la liberté et vous deviendrez esclave de vos désirs. Recherchez la discipline et vous trouverez la liberté.

Koan Zen

Nous sommes des mendiants, c'est bien vrai

Martin Luther

C'est déjà assez triste de n'avoir rien à dire. Si, en plus, il fallait se taire !

Philippe Bouvard

Quand on mène une vie publique, il faut s'attendre à ce que les coups pleuvent, même si je dois reconnaître que je n'imaginais pas que ce soit si violent.

Roland Dumas

La beauté est l'expression d'une certaine manière habituelle de chercher le bonheur ; les passions sont la manière accidentelle.

Stendhal

Pour éliminer leur cholestérol, les Américains font du jogging, c'est à dire qu'ils courent pendant des heures jusqu'à s'écrouler raides morts d'un infarctus.

Umberto Eco

Le grand principe du peuple romain était : c'est aux Dieux seuls de se soucier des offenses faites aux Dieux.

Voltaire