Citation de Jean de La Bruyère

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Les hommes souvent veulent aimer, et ne sauraient y réussir : ils cherchent leur défaite sans pouvoir la rencontrer, et, si... - Jean de La Bruyère

Les hommes souvent veulent aimer, et ne sauraient y réussir : ils cherchent leur défaite sans pouvoir la rencontrer, et, si j'ose ainsi parler, ils sont contraints de demeurer libres.

Jean de La Bruyère

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Le langage natal, climat de la pensée, hors de qui nul ne respire amplement et ne ressemble plus à soi-même. Tout ce qui est tient son existence du verbe.

Anna de Noailles

Il sentit son âme enflammée d'amour pour elle.

Charles Rollin

Les plus belles histoires d'amour sont hélas, bien souvent, celles que l'on n'a pas eues.

Christian Authier

Tout en nous efforçant de faire nos preuves, gardons-nous une certaine marge de manoeuvre.

Daniel Desbiens

Pensez faux, s'il vous plaît, mais surtout pensez par vous-même.

Doris Lessing

Les conseils valent ce qu'ils coûtent ; c'est-à-dire rien.

Douglas MacArthur

Guerre faite sans bonne provision d'argent n'est qu'un soupirail de vigueur. Les nerfs des batailles sont les pécunes.

François Rabelais

Cousin : Conseiller aux maris de se méfier du petit cousin.

Gustave Flaubert

Rien, dit-il, ne permet plus facilement à deux êtres de devenir amis que de faire de la musique.

Hermann Hesse

Un grain de poésie suffit à parfumer tout un siècle.

José Martí

L'éloge funèbre constitue un genre difficile, impliquant un savant dosage entre le souvenir familier, la détresse authentique, les banalités de circonstance et l'envolée lyrique.

Philippe Bouvard

Si le renard court, le poulet a des ailes.

Proverbe Anglais

Qui veut manger l'amande, qu'il casse le noyau.

Proverbe Écossais

Je ferais toujours le con, je reste un gamin et il faut continuer à être très con et ne pas se prendre au sérieux.

Stromae

Il y a quelque chose de doux dans le mouvement des obsessions quand elles partent vers le large. Elles cessent de vous importuner nuit et jour. Ce n'est ni une capitulation ni un abandon. Elles attendent leur heure.

Véronique Ovaldé