Elle pensait : Il doit avoir raison : C'est moi qui ne suis pas assez évoluée pour comprendre.
Jean Dutourd
Je suis très paysanne dans l'âme. Je suis officiellement oléicultrice. Je récolte mes olives et je les porte au moulin. Cette vie normale me plaît.
Amanda Lear
Ah ! si seulement nous pouvions nous expliquer ! Mais les moindres mots sortent si douloureusement de mon coeur, que je ne sais plus lui parler.
André Gide
Trop meilleur est soy marier que ardre on feu de concupiscence.
François Rabelais
Y a des tas d'endroits sur la planète, je comprends pas que des gens les habitent, quand bien même ils y sont nés.
Frédéric Dard
Combattre ses désirs est le plus grand des combats.
Hazrat Ali
Si j'étais immortel, j'inventerais la mort pour avoir du plaisir à vivre.
Jean Richepin
Il avait ce teint particulier aux vrais parisiens qui s'accorde à la couleur de leurs pavés et peut varier, au gré des émotions qu'ils expriment, du blanc des façades en pierre au gris plombé des toitures de zinc.
Jean-Christophe Rufin
Voici le temps de lui apprendre à faire l'analyse d'un discours...
Jean-Jacques Rousseau
Toutes les pièces de théâtre ont fini par créer un monde à côté de la vie, qui se fait illusion à lui-même et finit par se croire vivant.
Jules Renard
La critique peut vous déranger, mais vous devriez être plus gêné s'il n'y a pas de critique. Cela signifie que vous êtes trop en sécurité.
Kanye West
La danse, c'est du pelotage : tout ce qu'on fait avec les pieds est parfaitement secondaire. Tout le monde s'en fout.
Michel Audiard
En littérature et en musique, si tu fais toujours la même chose on t'accuse de te répéter et d'être sur le déclin, mais si tu changes on t'accuse d'être un touche-à-tout incohérent.
Michel Houellebecq
Chaque vers, chaque mot court à l'évènement.
Nicolas Boileau
Draguer : Se dit indifféremment quand on racle le fond des rivières et quand on touche le fond de la détresse vacancière.
Philippe Bouvard
Les soi-disant gens simples ont, comme je l'ai dit, une bonne oreille pour le ton faux, pour l'usage mensonger de la langue.
Thomas Bernhard