Citation de Jean-François Revel

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Le temps efface le souvenir des malheurs, jamais celui des fautes. La morsure d'un remords se ravive chaque jour plus cruelle da... - Jean-François Revel

Le temps efface le souvenir des malheurs, jamais celui des fautes. La morsure d'un remords se ravive chaque jour plus cruelle dans notre conscience, à mesure que la vie passe.

Jean-François Revel

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Dans l'art, la rébellion se consume et se perpétue dans l'acte de création réelle, pas dans la critique ou le commentaire.

Albert Camus

Qui a dit que le rouge était une couleur primaire ?

Denis Langlois

Quel fatal présent au monde qu'un héros !

Filippo Pananti

Au moins il n'y avait pas de femme pour leur jeter la pierre, pas de môme pour leur percer les tympans, rien ni personne pour leur faire des reproches. La liberté en quelque sorte. S'en convaincre.

Franck Bouysse

Pour juger un homme, il faut examiner sa conduite quand il est sain et libre : malade ou en prison, il n'est plus le même.

Giacomo Casanova

Il faut coller à la vie comme à un cheval.

Guy de Larigaudie

L'amour est souverain, que la mort ne peut vaincre Et malheur à l'amant qui ne peut s'en convaincre !

Jean Berthos

Ceux qui nous l'ont transmise (l'histoire) ressemblent à des naturalistes qui décriraient avec complaisance les combats des araignées qui se dévorent, et qui oublieraient de nous faire connaître l'industrie avec laquelle elles fabriquent leur toile.

Jean Le Rond d'Alembert

La vie intérieure est un bain d'amour dans lequel on se plonge.

Jean-Marie Vianney

Quand nous tombons dans un puits, ce ne sont pas nos oreilles qui arrêtent la chute.

Lao She

Oui et puisque ma vie n'est devenue rien d'autre qu'un torchon gorgé d'eau frappé sur une table de bois. Vingt-huit ans donc, toujours debout, avec le corps qui me travaille. J'attends le moment où je ne pourrai plus rester chez moi, où il faudra sortir, aller au-devant du béton.

Lorette Nobécourt

Pour réussir il ne suffit pas de continuer, il faut toujours se dépasser.

Madeleine Ferron

Il faut éclairer l'histoire par les lois et les lois par l'histoire.

Montesquieu

J'ai un souvenir de plein été ; c'était en juin sans doute, quand les vacances approchent et que les méchancetés enfantines s'impatientent avec un vague désir, s'enivrent d'elles-mêmes comme alors les abeilles sombrant dans les pollens des tilleuls, des genêts.

Pierre Michon

La vieillesse ôte les jambes au cheval, mais ne l'empêche pas de hennir.

Proverbe Hongrois