Citation de Jean-François Revel

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Il devient ensuite comme le paysan qui a labouré, semé, veillé aux récoltes. Qu'il y ait ou non des intempéries, il n'a aucun re... - Jean-François Revel

Il devient ensuite comme le paysan qui a labouré, semé, veillé aux récoltes. Qu'il y ait ou non des intempéries, il n'a aucun regret, car il a fait de son mieux.

Jean-François Revel

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Il n'y a rien de plus tragique qu'un homme sérieux déçu dans ses ambitions par une réalité médiocre.

Amadou Koné

Je dis qu'il faut être voyant, se faire voyant.

Arthur Rimbaud

En informatique, la miniaturisation augmente la puissance de calcul. On peut être plus petit et plus intelligent.

Bernard Werber

Plus ils sont riches, ces animaux-là, plus ils sont pingres.

Federico de Roberto

L'homme qui ne connaît pas sa propre mesure est un homme ruiné.

Hazrat Ali

Si singlerent poulsez par un doulx et gracieux vent l'espace de douze jours.

Jacques Amyot

Tu dis que tu aimes les fleurs et tu les coupes.

Jacques Prévert

Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses ; tout dégénère entre les mains de l'homme.

Jean-Jacques Rousseau

La manière chercheuse, anxieuse, exigeante, que nous avons de regarder la personne que nous aimons rend notre attention en face de l'être aimé trop tremblante pour qu'elle puisse obtenir de lui une image bien nette.

Marcel Proust

On se fait à la férocité des lois de son siècle, comme on se fait aux guerres suscitées par la sottise humaine, à l'inégalité des conditions, à la mauvaise police des routes et à l'incurie des villes.

Marguerite Yourcenar

Je voudrais tant être ce que j'étais quand je voulais être celui que je suis devenu !

Marlon Brando

Je n'ai jamais fait de conquêtes qu'en me défendant. L'Europe n'a jamais cessé de combattre la France à cause de ses principes. J'étais forcé d'abattre sous peine d'être abattu.

Napoléon Bonaparte

Tandis que dans le couchant roux - Passent les éphémères, - Dormez sous les feuilles amères. - Ma jeunesse avec vous.

Paul-Jean Toulet

Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une.

Raphaëlle Giordano

Dans les rues de la ville, il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour : chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus qui, au juste, l'aima Et l'éclaire de loin pour qu'il ne tombe pas !

René Char