La femme lui montra sa route qui, de l'autre côté de la vallée, montait dans les chênaies.
Jean Giono
C'était l'horrible maladie de cette famille, maléfique tare héréditaire : changer toute chance de joie et de bonheur en plomb. Pas de remède, pas de consolation, et le pire est toujours certain.
Anny Duperey
Il y a des gens tellement malchanceux qu'ils se jettent dans des accidents qui allaient arriver à quelqu'un d'autre.
Anonyme
L'amitié, au lieu d'amoindrir et de torturer comme l'amour, l'amitié ennoblit et purifie.
George Sand
Dans les foules, c'est la bêtise et non l'esprit, qui s'accumule.
Gustave Le Bon
J'ai pu goûter à l'humiliation dans mon enfance. Certaines scènes de Brice m'ont permis d'exorciser ça.
Jean Dujardin
Nous avons besoin d'un accrochement à une foi quelconque.
Jean-Richard Bloch
Les gens qui croient aimable de vous assurer que vous ne changez pas sont-ils conscients de vous refuser ainsi le seul avantage de la vieillesse qui consiste à gommer les imperfections de la jeunesse et les erreurs de la maturité ?
Philippe Bouvard
Le bien et le mal attendent l'homme au sortir de l'enfance : celui qui choisit le mal est en fuite de l'homme et celui qui choisit le bien est sur le chemin de sa libération !
Pierre Billon
Trois beaucoup, et trois peu, perdent l'homme : Beaucoup parler et peu savoir, Beaucoup dépenser et peu avoir, Beaucoup présumer et peu valoir.
Proverbe Espagnol
Point de denrée plus offerte que les conseils.
Proverbe Français
Une ville, c'est la synthèse des activités de l'homme, une preuve de son génie. On peut dire que c'est un acte de foi. La providence a fourni les matériaux ; ses créatures les ont utilisés.
René Ouvrard
Le monde est irrémédiablement divisé en deux : ceux qui sont en haut, et ceux qui sont en bas.
Roger Fournier
L'amour paraît une sensation plutôt qu'un sentiment - un goût aveugle, purement sensuel, qui ne suppose aucun mérite dans celui qui le possède, ni dans celui qui le donne.
Romain de Bierzynski
La vie m'a enseigné que c'est la langue plus que la prouesse qui mène la monde.
Sophocle
Pour un regard de toi je donnerais mon travail et ma peine ; pour un sourire, ma vie ; pour un baiser, mon âme !
Victor Hugo