Citation de Jean Giono

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Depuis que je me suis pendu, j'ai appris quelque chose : c'est qu'on pouvait avoir du plaisir même avec son malheur.... - Jean Giono

Depuis que je me suis pendu, j'ai appris quelque chose : c'est qu'on pouvait avoir du plaisir même avec son malheur.

Jean Giono

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Observez, souvenez-vous, comparez.

Alexander Graham Bell

Je vous raconte un malheur qui n'eut jamais d'exemple. Toute ma vie est destinée à le pleurer.

Antoine François Prévost

Si le corps humain a été affecté une fois par deux ou plusieurs corps simultanément, sitôt que l'Ame imaginera plus tard l'un des deux, il lui souviendra aussi des autres.

Baruch Spinoza

Voyez-vous, le bonheur est une chimère, il n'existe pas, je n'y crois pas.

Blaise Cendrars

L'homme, en bon simien, est un animal social, et ce qui prime en lui c'est le copinage, le népotisme, le piston et le commérage comme mesure intrinsèque du comportement éthique.

Carlos Ruiz Zafón

Il sentit son âme enflammée d'amour pour elle.

Charles Rollin

L'idée supérieure de discipline, qui est dans le sang de ces soldats, ne suffit-elle à infirmer leur pouvoir d'équité ? Qui dit discipline dit obéissance.

Emile Zola

Je ne dis pas quel objet Le ciel destine à me plaire. Aimer n'est pas un projet ; C'est l'instant qui nous éclaire.

Jean-François Marmontel

Nos ancêtres aimaient la campagne : ils s'y promenaient et ne la regardaient pas.

Jules Renard

La parole est un sabre quand elle dit juste et vrai.

Maurice Bandaman

Quand la République abandonne ses enfants, ils ne faut pas s'étonner s'ils redeviennent sauvages.

Nan Aurousseau

Suggestions de cadeaux de Noël : à votre ennemi, le pardon. Pour un adversaire, la tolérance. Pour un ami, ton coeur. Pour un client, Un service. À tous, la charité. Pour chaque enfant, un bon exemple. Pour vous, Le respect.

Oven Arnold

Vigneron qui prie Sainte-Hélène - De bon vin ne sera pas en peine.

Proverbe Français

La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie.

Victor Hugo

La nature est impitoyable ; elle ne consent pas à retirer ses fleurs, ses musiques, ses parfums et ses rayons devant l'abomination humaine.

Victor Hugo