Citation de Jean Giraudoux

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Cela ne va pas te suffire que les visages des menteurs soient éclatants de soleil ? Que les adultères et les assassins se meuven... - Jean Giraudoux

Cela ne va pas te suffire que les visages des menteurs soient éclatants de soleil ? Que les adultères et les assassins se meuvent dans l'azur ? C'est cela le jour. Ce n'est déjà pas mal.

Jean Giraudoux

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On peut toujours vivre avec sa femme quand on a autre chose à faire.

Alexandre Dumas

De ma province, j'avais mal compris les liens secrets qui unissent le monde politique, le monde financier, le monde littéraire, le monde mondain.

André Maurois

Je pense afin de continuer à être.

Joë Bousquet

Rêve de grandes choses, cela te permettra au moins d'en faire de toutes petites.

Jules Renard

L'intelligence est un double mal : elle fait souffrir et personne ne songe à la considérer comme une maladie.

Martin Page

Le bien public requiert qu'on trahisse et qu'on mente et qu'on massacre.

Michel de Montaigne

Le sexe, c'est comme le golf. Pas besoin d'être un expert pour s'amuser.

Nadine de Rothschild

Tuer au nom de Dieu est une aberration, il faut croire avec liberté, sans offenser, sans imposer, ni tuer.

Pape François

Aux hommes c'est par le coeur que s'apprend l'amour. Chez les femmes c'est par coeur.

Paul-Jean Toulet

De toute façon, ce qui est important c'est de se battre pour ce qu'on croit important.

Pierre Chaunu

L'amour dans un grand coeur sait doubler le courage.

Pierre Laurent Buirette de Belloy

Nous sommes pleins de calculs et d'arrière-pensées. Après une seconde d'abandon, nous nous rétractons dans notre cuirasse de suffisance et d'égoïsme.

René Barjavel

Aimer un étranger comme soi-même implique comme contrepartie : s'aimer soi-même comme un étranger.

Simone Weil

Appliqué à mes flancs, il dévore ma chair jusqu'à l'os, il imprègne et ronge les artères de mes poumons. Il a déjà bu tout mon sang frais, et je sens mon corps qui s'effondre vaincu par la mystérieuse étreinte.

Sophocle

Il faut continuellement commencer par la fin.

Stanislaw Jerzy Lec