Citation de Jean Giraudoux

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Il y avait justement quelques pies pour attrister le lieu ; le deuil, le demi-deuil était confié à des oiseaux. Aucun monument,... - Jean Giraudoux

Il y avait justement quelques pies pour attrister le lieu ; le deuil, le demi-deuil était confié à des oiseaux. Aucun monument, aucune fleur.

Jean Giraudoux

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J'en étais à ce point excédé que je ne sais plus trop si mon exaspération n'avait pas à la fin délabré tout l'amour que j'avais pour elle.

André Gide

Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux.

Aristote

Tout près de Paris, à vos pieds, promeneurs, cette rosace délicate, c'est le jeune pissenlit, et cette perle à son centre, c'est sa future fleur.

Colette

Je veux dire, est-ce que cela vaut la peine que nous restions debout la moitié de la nuit à discuter s'il y a ou pas un Dieu si cette machine va vous donner son foutu numéro de téléphone le lendemain matin ?

Douglas Adams

La justice des hommes est plus criminelle que le crime.

Francis Picabia

Presque tout le monde prend plaisir à s'acquitter des petites obligations ; beaucoup de gens ont de la reconnaissance pour les médiocres ; mais il n'y a quasi personne qui n'ait de l'ingratitude pour les grandes.

François de La Rochefoucauld

Le plus terrible, ce n'est pas le chagrin, c'est la diligence qu'on met à l'oublier.

François Moreau

Un homme qui supplie perd sa foi.

Hazrat Ali

Tout ce qu'elle avait fait en se répétant sans cesse que c'était pour le mieux, n'avait jamais été que l'expression d'un égoïsme aveugle qui avait entraîné la confusion et le désastre partout autour d'elle.

J. K. Rowling

Il produisit au conseil quelques esclaves, lesquelz deposerent qu'Alcibiades et autres siens familiers avoient ainsi mutilé quelques autres images.

Jacques Amyot

Je vous connois : je sais tout ce que je m'apprête, et je vois quels malheurs j'assemble sur ma tête ; mais le dessein est pris : rien ne peut m'ébranler.

Jean Racine

Si encore la douleur était un antiseptique des délits futurs ou un détersif des fautes passées, on comprendrait.

Joris-Karl Huysmans

L'homme doit brider ses pulsions dans sa vie en société. Ne pas laisser libre cours à ses désirs. La colère, la peur, la rage, tout doit être canalisé. La guerre, c'est faire sauter les verrous pour tuer sans plus se poser de questions. Et irrémédiablement, les instincts primaires émergent à nouveau. On ne peut dissocier la mort de la vie, la peur du courage, la rage du désir.

Maxime Chattam

Oh ! combien d'actions, combien d'exploits célèbres - Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres.

Pierre Corneille

Je me laisse aller, je m'écoute, je suis un effroyable égocentriste.

Robert Sabatier